Contenu

Journal de voyage, lettres, éphémérides, sentences

Résumé
Faisant suite à l'édition en français moderne des Essais, ce livre met un terme à la publication par Arléa des œuvres complètes de Montaigne, dont il constitue une sorte de tome II. Cet ouvrage comprend le Journal de Voyage en Italie par l'Allemagne et la Suisse, toutes les lettres de Montaigne qui nous sont parvenues, les Ephémérides de Beuther - sorte de livre de raison du domaine -, ainsi que la traduction des sentences que l'auteur des Essais avait fait peindre sur les solives de sa bibliothèque. Tous ces textes sont eux aussi proposés dans une orthographe modernisée.
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 15h. 35min.
Édition: Paris, Arléa, 2006
Numéro du livre: 38093
ISBN: 9782869597365
CDU: 840

Documents similaires

Lu par : Jean Frey
Durée : 25h. 34min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 17650
Résumé:
Lu par : Jean Frey
Durée : 18h. 10min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 18330
Résumé:" C'est ici un livre de bonne foi, lecteur. Il t'avertit dès l'entrée que je ne m'y suis proposé aucune fin que domestique et privée. Je n'y ai eu nulle considération de ton service, ni de ma gloire. Mes forces ne sont pas capables d'un tel dessein. Je l'ai voué à la commodité particulière de mes parents et amis : à ce que m'ayant perdu (ce qu'ils ont à faire bientôt) ils y puissent retrouver certains traits de mes conditions et humeurs, et que par ce moyen ils nourrissent plus entière et plus vive la connaissance qu'ils ont eue de moi. Si c'eût été pour rechercher la faveur du monde, je me fusse mieux paré et me présenterais en une marche étudiée. Je veux qu'on m'y voie en ma façon simple, naturelle et ordinaire, sans contention [effort] ni artifice car c'est moi que je peins. Mes défauts s'y liront au vif, et ma forme naïve [naturelle], autant que la révérence publique me l'a permis. Que si j'eusse été entre ces nations qu'on dit vivre encore sous la douce liberté des premières lois de nature, je t'assure que je m'y fusse très volontiers peint tout entier et tout nu. Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière de mon livre : ce n'est pas raison que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain. Adieu donc. " Montaigne.
Lu par : Jean Frey
Durée : 16h. 45min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 16297
Résumé:
Durée : 3h. 32min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14570
Résumé:Présentation de l'éditeur : Ecrivain singulier, inclassable, humaniste et étonnamment moderne, Montaigne prône la tolérance. Mêlant expérience personnelle, commentaires moraux et réflexion, il offre une vision de l'homme toujours en mouvement, sans préjugés, à la fois fort et fragile. D'une grande liberté d'écriture, Montaigne nous offre quelques pages pleines de malice et de sagesse pour nous aider à conduire notre vie.
Durée : 41min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 14249
Résumé:C'est l'une des lettres les plus célèbres de toute la tradition épistolaire occidentale. L'une des plus belles, l'une des plus essentielles aussi. On y a vu l'invention du paysage. Pétrarque, poète et ecclésiastique à la cour papale, a trente deux ans en 1336 lorsqu'il rédige cette lettre à l'attention de son confesseur. Cela fait plus de dix ans qu'il vit à Avignon et que Laure l'a éconduit. Le mont Ventoux appartient au spectacle naturel de la région à laquelle Pétraque est si attaché depuis son enfance. Pic d'une crise spirituelle, le récit de son ascension est celui d'une formidable expérience dont il découvre la portée allégorique. La réconciliation de Pétrarque avec l'ordre du monde et la splendeur de dieu...
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 2h. 32min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 15666
Résumé:Huit auteurs écrivent à leur mère. Ils s'appellent Charles Baudelaire, Ernest Hemingway, Marcel Proust, William Faulkner, Jean Cocteau, André Gide, Henry James, Antoine de Saint-Exupéry. Ils sont jeunes comme Cocteau ou Faulkner, adultes comme Baudelaire ou Proust. Dans ces lettres affleurent l'amour, la tendresse, l'humour, mais aussi les conflits, parfois violents, l'incompréhension entre ces deux êtres, une mère et son fils, qui ont des liens à nul autre pareils. Toutes ces lettres sont différentes mais toutes portent la marque de ce qu'il faut bien appeler la passion.
Lu par : Claude Fissé
Durée : 14h. 23min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 19303
Résumé:Au fil de ces 266 lettres, c'est toute la vie de Robert Walser, de ses débuts presque enchantés jusqu'aux sombres années de silence littéraire, qui prend un relief nouveau. Écrites à Zurich, Berlin, Bienne, Berne et Herisau, adressées à ses sœurs, à ses éditeurs, mais aussi à deux femmes, Frieda Mermet, qui fut sa muse et sa confidente, et la toute jeune Therese Breitbach, elles sont des pièces essentielles de son atelier d'écriture ; habitées de tendresse et de colères, d'intransigeance, d'indépendance, d'humour, d'ironie, d'un constant goût de vivre, elles donnent un coup de projecteur sur la carrière et le combat étonnant de l'un des écrivains les plus brillants et les plus mystérieux de la littérature moderne.
Durée : 6h. 30min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 33757
Résumé:Rapide, imaginative, douée du sens de l'impromptu, forte d'une gaîté d'autant plus sûre qu'elle relevait d'un pessimisme radical, la marquise du Deffand (1696-1780) fut, de son vivant, célèbre pour son salon, où se réunissaient hommes politiques, philosophes. A l'âge de 56 ans elle devient aveugle. Dès lors, elle traverse en recluse la longue nuit des années qu'il lui reste à vivre. La parole demeure son seul mode d'être. Mme du Deffand élève à la hauteur d'un art son amour de la conversation - un art dont il ne nous resterait nulle trace sans sa correspondance qui nous restitue à l'état vif le brillant, l'acéré de son esprit. " Mme du Deffand est avec Voltaire, dans la prose, le classique le plus pur de cette époque, sans même en excepter aucun des grands écrivains ", écrit Sainte-Beuve. Les lettres de la marquise à celui qu'elle considère comme le dernier détenteur du bon goût sont un modèle de style, d'humour et de lucidité. S'y déploient, avec une rare élégance, le génie de la langue française et celui de l'amitié.
Durée : 5h. 53min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 34749
Résumé:Plus de quinze ans s'écoulent entre la première lettre échangée entre André Malraux et Albert Camus le 30 octobre 1941 et l'ultime billet envoyé par ce dernier à son ami. Durant cette période, Albert Camus est devenu cet "écrivain important" qu'André Malraux avait pressenti dès la lecture du premier manuscrit de L'Étranger, et le militant enthousiaste du théâtre du Travail d'Alger, un intellectuel engagé et reconnu mondialement. Le jeune homme, qui envoyait timidement à son aîné son premier recueil de textes, a reçu le prix Nobel de littérature. Le brillant compagnon de route du Parti communiste, quant à lui, s'est rallié au gaullisme et en est devenu le fervent propagandiste. Tandis que le Prix Goncourt de 1933 s'est détourné du genre romanesque pour se consacrer à ses écrits sur l'art, Albert Camus, qui a connu à son tour le succès avec La Peste, s'est investi avec passion dans la voie du théâtre, si étrangère à André Malraux. Trente-six lettres, des rencontres et des échanges, pour passer de "l'admiration" à la "pensée amicale" : Albert Camus grandit sans renier le "maître de sa jeunesse" tout en trouvant sa propre voie ; André Malraux poursuit sa réflexion et réalise ses rêves de destin historique. Estime et attention réciproques marquent ces échanges épistolaires et ces écrits prenant leur source dans la genèse éditoriale et littéraire d'une grande oeuvre.
Durée : 27h. 27min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65838
Résumé:Le 19 mars 1944, Albert Camus et Maria Casarès se croisent chez Michel Leiris. L’ancienne élève du Conservatoire, originaire de La Corogne et fille d’un républicain espagnol en exil, n’a que vingt et un ans. Elle a débuté sa carrière en 1942 au Théâtre des Mathurins, au moment où Albert Camus publiait L’Étranger chez Gallimard. L’écrivain vit alors seul à Paris, la guerre l’ayant tenu éloigné de son épouse Francine, enseignante à Oran. Sensible au talent de l’actrice, Albert Camus lui confie le rôle de Martha pour la création du Malentendu en juin 1944. Et durant la nuit du Débarquement, Albert Camus et Maria Casarès deviennent amants. Ce n’est encore que le prélude d’une grande histoire amoureuse, qui ne prendra son vrai départ qu’en 1948.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 1h. 15min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 36724
Résumé:« Ma vie n’est rien qu’écrire. Le panda mange de l’eucalyptus, moi de l’encre. » Pour la première fois, Christian Bobin livre un texte entièrement composé de lettres. Rares et précieuses, elles sont adressées tour à tour à sa mère, à un bol, à un nuage, à un ami, à une sonate. Sous l’ombre de Ryokan, moine japonais du XIXe siècle, l’auteur compose une célébration du simple et du quotidien. La lettre est ici le lieu de l’intime, l’écrin des choses vues et aimées. Elle célèbre le miracle d’exister. Et d’une page à l’autre, nous invite au recueillement et à la méditation. « J’ai interrogé les livres et je leur ai demandé quel était le sens de la vie, mais ils n’ont pas répondu. J’ai frappé aux portes du silence, de la musique, et même de la mort, mais personne n’a ouvert. Alors j’ai cessé de demander. J’ai aimé les livres pour ce qu’ils étaient, des blocs de paix, des respirations si lentes qu’on les entend à peine. »
Lu par : Janine Brenier
Durée : 19h. 20min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 21332
Résumé:Née en 1652, arrachée, à dix-neuf ans, à son Palatinat natal pour être mariée au frère de Louis XIV, Charlotte-Elisabeth étonna la cour par ses façons rustiques et ses propos cocasses mais sut gagner la sympathie du roi. Ni l'indifférence courtoise de Monsieur, ni les intrigues des courtisans, ni, plus tard, la mise à sac de son pays d'origine par les troupes françaises ne lui firent oublier ses devoirs. Mais, quand Louis XIV obligea Philippe d'Orléans à épouser une de ses bâtardes, elle osa un esclandre et vécut désormais à l'écart. Ses joies et ses peines, Liselotte les confia chaque jour à ses parents d'Allemagne dans des lettres qui forment la chronique la plus dense, la plus animée et sans doute la plus véridique du règne de Louis XIV.