Recherche par mot-clé: Travail précaire -Récits personnels
3 résultats.
Lu par : Philippe Drevon
Durée : 3h.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 35141
Résumé:Le facteur genevois relate son enfance, sa formation, son emploi sans lieu déterminé, mais aussi ses collègues et leurs travers, les anecdotes de tournées, les clients et les conditions de travail. En filigrane, il décrit les avancées technologiques, la mondialisation, l'urbanisation, la déshumanisation et les restrictions diverses
Lu par : Antoine Gallier
Durée : 1h. 30min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 32184
Résumé:Sans eux, les magasins seraient vides. Qui se soucie pourtant de ces hommes qui approvisionnent les villes ? Vaste population ouvrière, les chauffeurs-livreurs apparaissent, aux yeux des citadins, comme des gêneurs : déclencheurs d'embouteillages, pollueurs... A eux de concilier l'inconciliable : le stress des automobilistes et les exigences du client, l'impatience des consommateurs et l'aspiration à la tranquillité des riverains. Mission impossible ? Depuis les camions et camionnettes où Eve Charrin s'est embarquée à leurs côtés, Paris ressemble à un parcours d'obstacles, raconté au rythme trépidant de tournées sous tension. Contrôlés à distance par leur patron, pris en tenailles entre les impératifs de la gestion en flux tendus et les contraintes accrues de la circulation urbaine, Léon, Sami, Mohamed et les autres opposent chaque jour à l'agressivité ambiante leur débrouillardise et leur patience.
Lu par : Françoise Thibaud
Durée : 5h. 50min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 17142
Résumé:" La crise. On ne parlait que de ça, mais sans savoir réellement qu'en dire, ni comment en prendre la mesure. Tout donnait l'impression d'un monde en train de s'écrouler. Et pourtant, autour de nous, les choses semblaient toujours à leur place. J'ai décidé de partir dans une ville française où je n'ai aucune attache, pour chercher anonymement du travail. J'ai loué une chambre meublée. Je ne suis revenue chez moi que deux fois, en coup de vent : j'avais trop à faire là-bas. J'ai conservé mon identité, mon nom, mes papiers, et je me suis inscrite au chômage avec un baccalauréat pour seul bagage. Je suis devenue blonde. Je n'ai plus quitté mes lunettes. Je n'ai touché aucune allocation. Il était convenu que je m'arrêterais le jour où ma recherche aboutirait, c'est-à-dire celui où je décrocherais un CDI. Ce livre raconte ma quête, qui a duré presque six mois, de février à juillet 2009. J'ai gardé ma chambre meublée. J'y suis retournée cet hiver écrire ce livre. ", Florence Aubenas.