Recherche par auteur : Chyba, Martina
4 résultats.
Lu par : Liliane Pierré
Durée : 6h.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 14608
Résumé:Aujourd'hui, on ne dispose que de 15 ans pour réussir sa vie. Entre 25 et 40 ans il faut du fric, du cul, des gosses, une carrière, du fitness, des voyages, des soirées échangistes, trouver un sens à sa vie, du shopping à new York, etc. Si vous êtes tout en bas de l'échelle de Richter de l'épanouissement personnel et de la reconnaissance sociale, il faut vous reprendre. C'est exactement ce que tentent de faire deux femmes et deux hommes.
Lu par : Liliane Pierré
Durée : 5h. 36min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15477
Résumé:Quatrième de couverture : Un terrible complot menace l'humanité: la beauté. Seuls les gens répondant aux critères de l'esthétiquement correct ont des chances de réussir leur vie professionnelle et privée. Et les autres? Max et Agnès en font partie. Ils ont la trentaine et sont banalement, moyennement, normalement moches dans un monde où la perfection devient quasiment obligatoire. Ils décident de lutter pour ne pas être définitivement relégués dans l'ombre de la société.
Lu par : Pierrette Johner
Durée : 6h. 3min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 17069
Résumé:Dans ce roman drôle et inquiétant, un couple a décidé de se couper du monde réel et de son rythme effréné pour vivre pendant un an comme à l'âge de pierre dans Helvetic Park. Au fil de l'intrigue, on découvre leur parcours sentimental, leurs ressources cachées, leurs failles, tout en riant de leurs expériences et mésaventures dans ce parc sans attraction... mais plein de mystères et de dangers, car parmi les autres résidents se cache un tueur...
Lu par : Lisette Vogel
Durée : 6h. 1min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 73242
Résumé:Un roman drôle et décapant qui traite de sujets profonds : et si l'art pouvait nous (re)donner de la force, du courage, de la confiance, de l'envie ? De plus en plus de thérapeutes conseillent aux gens déprimés, en deuil ou en rupture de se ressourcer en allant voir un tableau qui a parfois traversé les siècles et les continents, et a un message libérateur à transmettre. La vie passe et on se retrouve à 50 ans, souvent fraîchement divorcée et hélas plus toute fraîche sur le marché ingrat de la séduction. A cet instant précis, on peut gémir sur l'injustice du temps qui file, sur ces salauds de mâles qui font leur crise, cassent leur vie comme on casse une construction en Lego et n'arrivent plus à la reconstruire, sur l'ingratitude des jeunes qui nous considèrent au boulot comme des vieux cons avec notre vie de bureau bien réglée " en présence " comme on dit désormais, alors qu'eux sont mobiles, exigeants, online, volatiles, égocentrés, vénaux assumés, tout ce que nous avons toujours rêvé d'être sans jamais oser le réclamer, on peut geindre sur nos parents âgés qui ont eu une retraite en platine dont nous ne bénéficierons jamais et qui ont le mauvais goût de vivre hyper longtemps, avant de nous bouleverser quand ils meurent parce que ce sont nos parents et qu'après eux c'est nous qui sommes au bord du précipice, on peut grincer sur nos enfants merveilleux forcément merveilleux mais pour lesquels on panique car on se dit qu'ils ne trouveront ni emploi ni logement et qu'ils resteront agglomérés à nous et à leur portable, confinés ad vitam aeternam à la maison pour se protéger du monde extérieur. Oui on peut se plaindre de tout ça et je le fais régulièrement car c'est très jouissif de se plaindre même si cela ne mène à rien. Mais la réalité, c'est qu'on bouge encore.."