Recherche par mot-clé: Rupture
5 résultats.
Lu par : Noëlle Baticle
Durée : 3h. 11min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 70841
Résumé:A Paris, dans le quartier de Château-Rouge, Raphaëlle et Antoine s'aiment, se séparent et se retrouvent avant de se quitter une nouvelle fois. L'auteure décrit les ruptures qui font basculer dans le monde des adultes avec l'entrée dans la vie professionnelle et la fin des illusions de la jeunesse. Premier roman.
Lu par : Jean-Pierre Delaunoy
Durée : 7h. 16min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 66791
Résumé:De plus en plus souvent, ce sont les femmes qui choisissent de partir, quel que soit leur âge. A 30 ans, le temps facile des rencontres amoureuses, à 40 ans, lorsque leur corps change, mais aussi à 50 ou 60 ans, elles sont prêtes à changer de vie. Qu'est-ce qui les pousse à s'en aller ? Pourquoi certaines vivent-elles plus douloureusement les séparations ? Pendant un an, Isabelle Yhuel a tenu le journal d'une rupture, en y mêlant les histoires d'autres femmes. Elle nous parle de la rupture " non tragique ". Cette rupture qui ne reste pas campée sur les pleurs et les regrets, devient un moment de vie aussi riche qu'un autre. Un récit sensible et intense qui nous raconte les errances, les souffrances et les découvertes pour nous conduire à la renaissance.
Lu par : Dominique de Germay
Durée : 2h. 12min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 66155
Résumé:Une jeune femme qui se bat contre la maladie, de retour au sanatorium dont elle ne reviendra peut-être pas, ouvre une lettre que vient de lui remettre son amant. Lettre de rupture, ou plutôt de congé. A quoi elle répond ici au nom de cette vie qu'elle risque de n'avoir plus longtemps à vivre, mais qu'elle persiste à vouloir exempte de toute tiédeur, de tout compromis. Un cri pur, sur le mode intraitable : et la revendication blessée mais sûre de soi d'un amour de haute exigence qui revendique à la fois le partage total et la lucidité. Le livre de Marcelle Sauvageot (1900-1934), publié peu de mois avant sa mort (d'abord sous le titre de Commentaire), longtemps introuvable malgré quelques brèves reprises en librairie, fut salué en son temps par les plus grands.
Lu par : Aline Communal
Durée : 4h. 41min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 65980
Résumé:Qu’elles soient joyeuses ou tragiques, visibles ou non, les ruptures rythment notre existence, nous transforment, nous remettent profondément en question. Comment conjuguer ces « bifurcations » de nos vies que sont les ruptures avec l’idée de notre identité, une et constante ? Nous révèlent-elles la multiplicité de nos identités possibles, ou le fait que nous nous affirmions progressivement, au fur et à mesure de ces « accidents » de la vie ? Nous épurent-elles ou nous démolissent-elles ? Pour la philosophe Claire Marin, la définition de notre être est tout autant dans nos sorties de route que dans nos lignes droites, dans les accrocs au contrat que dans le contrat lui-même. Naissances ou deuils, séparation ou nouvel amour, besoins d’ailleurs : nos oscillations, nos vacillements fragilisent nos représentations, ébranlent nos certitudes, certes. Mais ils soulignent aussi fondamentalement la place de l’imprévisible, et questionnent notre capacité à supporter l’incertitude, à composer avec la catastrophe et, en les surmontant, à parfois démarrer une nouvelle vie.
Lu par : Pierre Luisoni
Durée : 7h. 19min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 18653
Résumé:Les trois quarts des séparations et des divorces sont demandés par les femmes. Pour la première fois, un sociologue s'empare de ce fait de société, en analysant le récit des femmes qui ont rompu. Il découvre que la séparation n'est pas seulement une expérience de désenchantement et d'épreuves à franchir. Aussi douloureuse soit-elle, elle apparaît aussi comme une étape par laquelle la femme moderne s'affranchit. Cette émancipation revêt plusieurs formes. Certaines femmes se détachent pour survivre (mieux vaut divorcer que périr dans le couple), d'autres veulent passer à autre chose dans une logique de progression individuelle. Et puis il y a celles qui ne veulent plus porter le couple, jugeant que leur conjoint ne l'a pas assez investi. À chacune sa formule de séparation pourrait-on penser. Mais par un habile jeu de miroir, François de Singly nous présente l'expérience de la rupture comme le reflet de la vie conjugale : on se sépare comme on a vécu ensemble. Et on se sépare, aussi, pour vivre différemment, pour se trouver et s'accomplir.