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Recherche par mot-clé: Morale

18 résultats.

Lu par : Georges Morin
Durée : 2h. 47min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 77685
Résumé:Choix de réflexions s'articulant autour des préoccupations de R. Mallet, moraliste, agnostique, humaniste et mondialiste.
Lu par : Nina Macquet
Durée : 22h. 51min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 72922
Résumé:L'auteur s'interroge sur la possibilité de promouvoir le gouvernement responsable de soi-même ainsi que le respect d'autrui et de la nature, aux dépens de l'intérêt et de l'égoïsme. Il défend ainsi une conception rationnelle de valeurs sur lesquelles asseoir une telle liberté.
Lu par : Carole Beuron
Durée : 9h. 54min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 70284
Résumé:Comment défendre les Lumières aujourd'hui ? Leur idéal d'émancipation a-t-il encore un sens ? On ne saurait se borner à invoquer un esprit des Lumières immuable dans un contexte marqué par le réveil du nationalisme, les crises environnementales et sanitaires et l'augmentation des inégalités. Faire face au danger d'effondrement de notre civilisation sans renoncer à la rationalité philosophico-scientifique, mais en tenant compte de notre dépendance à l'égard de la nature et des autres vivants : telle est la démarche qui fonde ce livre. Pour combattre les anti-Lumières qui souhaitent rétablir une société hiérarchique ou théocratique et répondre aux accusations des postmodernes qui suspectent tout universalisme d'être hégémonique, il faut donc proposer de nouvelles Lumières. Celles-ci supposent de revisiter l'histoire des Lumières, mais aussi de lutter contre l'amputation de la raison qui a été réduite à un instrument de calcul et d'exploitation. L'objectif des Lumières à l'âge du vivant et de leur projet d'une société démocratique et écologique est bien de destituer le principe de la domination - une domination des autres et de la nature à l'intérieur et à l'extérieur de soi qui traduit un mépris du corps et de la vulnérabilité.
Lu par : Bernard Dieu
Durée : 9h. 3min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69145
Résumé:En plus de trente-cinq ans d’une carrière judiciaire où il s’est souvent heurté à l’ordre établi, Éric de Montgolfier a eu tout le loisir de débusquer les mensonges des prédateurs de la démocratie qui tentent de nous courber sous leurs exigences de morale alors qu’eux-mêmes ne s’y plient pas. On se sentirait pigeon à moins… Pressions du Pouvoir sur les magistrats, dossiers curieusement classés sans suite ou grâces surprenantes, traitements différents des affaires fiscales selon que vous êtes puissant ou misérable, influence ambiguë de la presse ligotée par ses annonceurs et ses connivences avec le monde politique, indélicatesses de certains avocats, enrichissement illégal de quelques notaires, aberrances de la législation sur les femmes, dévalorisation du travail dans les textes : oui, il s’agit de Justice ! Mais pas seulement de l’institution. Nous sommes tous concernés. Et parce que ce livre talentueux dont les anecdotes vécues soutiennent le discours respire l’intégrité, il donne à chacun de nous l’envie de s’y soumettre, pour être digne de l’exiger. Ceux qui seraient spontanément tentés d’adopter le plumage du pigeon comme une justification de leur passivité doivent se rappeler sans cesse que, plus qu’un droit, la citoyenneté est un devoir qui ne souffre pas de compromis.
Lu par : Michèle Crès
Durée : 1h. 36min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 68253
Résumé:« Pour chanter les vingt ans du Pommier, mon éditrice me demanda d’écrire quelques lignes. Les voici. Pour une fois, j’y entre en morale, comme en terre nouvelle et inconnue, sur la pointe des pieds. On disait jadis de l’Arlequin de mes rêves, bienheureux comédien de l’art, qu’il corrigeait les mœurs en riant. Devenu arrière-grand-père, son disciple a, de même, le devoir sacré de raconter des histoires à ses petits descendants en leur enseignant à faire des grimaces narquoises. Parvenus ensemble à l’âge espiègle, j’en profite pour leur dire de l’humain en pouffant de rire. » Un éloge de l’humilité et de l’espièglerie qui fait du bien en ces temps bousculés !
Durée : 9h. 43min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 66405
Résumé:Nous sommes milliardaires en news, mais nous ne savons pas en profiter. Pourquoi nous sentons-nous gavés, au lieu d'en faire un festin ? Comment ne pas se noyer dans l'actualité ? En pratiquant la philosophie. Assidûment. Et au quotidien. Car elle donne à chaque événement la saveur d'une énigme ou d'une question. Par exemple... Valait-il mieux, pour Harvey Weinstein, qu'il se fît prendre ou qu il restât impuni ? Pourquoi est-il dangereux de croire que tous les gens qui nous ressemblent pensent comme nous ? Comment l'antique paradoxe du menteur permet-il de comprendre la réaction de Laurent Wauquiez à l'enregistrement pirate de ses propos ? Peut-on pratiquer la censure au nom de la tolérance ? Le clitoris est-il une arme de guerre ? Est-ce librement qu'Anakin Skywalker devient Dark Vador ? Si Dieu existait, aurait-on besoin de croire en Lui ? Etc. Après le succès des Morales provisoires, leur auteur récidive, démonte les idées reçues et enfonce gaiement son scalpel dans la chair du monde
Lu par : Jacques Moret
Durée : 10h. 38min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 38654
Résumé:Pourquoi avons-nous tant de mal à changer nos styles de vie alors que plus personne ne peut nier que notre modèle de développement a un impact destructeur sur le plan écologique et social ni douter de l’intensité des violences infligées aux animaux ? Relever ce défi implique de combler l’écart entre la théorie et la pratique en développant une éthique des vertus. Au lieu de se focaliser sur les principes ou sur les conséquences de nos actes, celle-ci s’intéresse à nos motivations concrètes, c’est-à-dire aux représentations et aux affects qui nous poussent à agir. Quels traits moraux peuvent nous conduire à être sobres et à avoir du plaisir à faire le bien, au lieu d’être constamment déchirés entre le bonheur et le devoir ? L’éthique de la considération prend sa source dans les morales antiques, mais elle rejette leur essentialisme et s’appuie sur l’humilité et sur la vulnérabilité. Alors que Bernard de Clairvaux fait reposer la considération sur une expérience de l’incommensurable supposant la foi, Corine Pelluchon la définit par la transdescendance. Celle-ci désigne un mouvement d’approfondissement de soi-même permettant au sujet d’éprouver le lien l’unissant aux autres vivants et de transformer la conscience de son appartenance au monde commun en savoir vécu et en engagement. La considération est l’attitude globale sur laquelle les vertus se fondent au cours d’un processus d’individuation dont l’auteur décrit les étapes.
Lu par : Michel Raimbault
Durée : 10h. 11min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 37011
Résumé:Moine bouddhiste, M. Ricard démontre les vertus de l'altruisme au quotidien. Se fondant sur ses lectures, ses expériences et sa réflexion, il souligne la nécessité de l'altruisme dans un monde de plus en plus interdépendant. Un essai sur la force de la bienveillance et le pouvoir de la transformation positive
Lu par : Marie Deygas
Durée : 2h. 14min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 34659
Résumé:Parce qu'écrire c'est s'engager, tout auteur doit nécessairement se demander comment, par sa pratique, ne pas participer à la reproduction d'un monde traversé par des systèmes de domination, d'exploitation et de violence. En examinant ce que signifie de vivre une bonne vie intellectuelle dans un monde mauvais, Geoffroy de Lagasnerie élabore un ensemble d'analyses radicales sur l'autonomie de la culture, sur la valeur du savoir et de la vérité, sur la possibilité de concevoir une pratique de connaissance qui soit en même temps oppositionnelle, ou encore sur les rapports de l'intellectuel aux luttes. Lorsqu'il suspend l'adhésion spontanée à ce qu'il est, tout auteur se pose nécessairement un jour ou l'autre ces questions troublantes : mais au fait... à quoi sert ce que je fais ? Quels sens ont l'art, la culture et le savoir - et à quelles conditions ont-ils du sens ?
Durée : 12h. 3min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 20484
Résumé:Le moi monte sans cesse et retombe toujours, toujours à la poursuite de quelque chose et toujours frustré, toujours gagnant et perdant toujours. il essaie sans cesse d'échapper à cette ronde épuisante de futilité. Il s'échappe par les activités extérieures ou par des illusions agréables, par la boisson, le sexe, la radio, les livres, la culture, les plaisirs, et ainsi de suite. Dans cet ouvrage, remarquable sur un plan littéraire, psychologique et philosophique, Krishnamurti nous montre le chemin de la véritable liberté, où il n'y a pas de passé, de peurs, de jugements ou d'illusions, juste une observation vigilante et attentive de ce qui est. Seul ce qui est libre connaît le bonheur, et la liberté vient avec la vérité de ce qui est. "
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 7h. 36min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 16657
Résumé:En moins de trois décennies, de nombreux changements sont intervenus dans le domaine des valeurs, de la science, de l'économie, des religions, de la politique. Regard sur la modernité, qui est celle d'un univers mondialisé, et sur la confusion des valeurs. A travers ses lectures et son analyse de l'actualité, J.-C. Guillebaud introduit un questionnement centré sur l'homme. Jean-Claude Guillebaud nous aide à arpenter cette modernité foisonnante, pleine d'incertitudes et de surprises. Bien plus, il introduit un questionnement où l'homme garde toute sa place. Faut-il se résigner au cynisme de l'économie libérale, à la violence qui marque nos sociétés ? Globalisation rime-t-elle avec choc des civilisations ?
Lu par : Sylviane Tastavi
Durée : 6h. 56min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 16292
Résumé:
Durée : 4h. 53min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 16269
Résumé:Paru en novembre 1649 à Paris et Amsterdam, rédigé directement en français comme le Discours de la méthode (1637), Les Passions de l'âme est le dernier grand ouvrage de René Descartes (1596-1650), installé depuis peu à Stockholm, et le dernier texte publié de son vivant. Il s'agit d'abord, comme le titre l'indique, d'un traité des passions, complément inévitable de la physiologie cartésienne. Il peut encore être lu comme un traité de morale, point d'aboutissement d'une oeuvre qui jusqu'alors n'avait proposé - dans le Discours - qu'une éthique " par provision ". Enfin il apparaît comme un effort pour résoudre les apories du dualisme entre le corps et l'esprit, dualisme que l'auteur des Méditations métaphysiques (1641) et des Principes de la philosophie (1644) impose comme problème à toute la philosophie ultérieure...
Lu par : Jean Frey
Durée : 11h. 49min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 16213
Résumé:L'ivresse qui traverse les romans de Rabelais ; la fougue qui emporte les corps sculptés par le Bernin ; le plaisir de tête qui préside aux stratégies libertines des "Liaisons dangereuses" ; l'effervescence de la pensée et des sens à l'oeuvre dans les fictions sadiennes ; le trouble suscité par la peinture érotique de tous les temps, telle que Bataille l'a scrutée : ce livre postule un lien intime entre les plaisirs de l'art et l'art du plaisir. Rabelais, Laclos, Sade, Bataille : on n'a cessé, en France, de vouloir les censurer, les discréditer, ou, pire encore, les rendre inoffensifs. Alors qu'ils représentent ce que l'esprit français a apporté au monde de plus singulier et de plus libre ; et qu'ils sont, aujourd'hui plus que jamais, le meilleur contrepoison au déferlement de bien-pensance que nous subissons. Ceux que j'évoque ici, pourtant, n'ont pas élaboré de morale hédoniste à proprement parler. Romanciers, artistes, c'est d'abord l'imagination qu'ils sollicitent, plus que la conscience ou la raison. D'où une réflexion, en contrepoint, sur l'art du roman, sa lucidité spécifique, son aptitude à dissoudre les préjugés. L'horizon indiqué, en tout cas, est celui d'un plaisir paradoxal : à la fois sans innocence et sans culpabilité.
Lu par : Jean Frey
Durée : 9h. 8min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14661
Résumé:Essai d'Arthur Schopenhauer, Le fondement de la morale en allemand Über die Grundlage der Moral, a été publié en 1840, en réponse à la question d'une société savante. Schopenhauer y critique l'approche kantienne des Fondements de la métaphysique des moeurs et insiste sur une racine naturelle du comportement moral humain : la pitié, que l'on appelerait aujour'hui empathie. Il s'inscrit ainsi dans la continuité du Rousseau du Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes.
Durée : 3h. 7min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 12783
Résumé:Quatrième de couverture : Le passé parle au présent. Il s'adresse à nous. Il nous interpelle. Il réclame. Mais comment le présent doit-il répondre? Comment être au rendez-vous ? Alain Finkielkraut s'interroge sur le devoir de mémoire. Nous sommes passés d'une mémoire encombrante (personne ne parlait des camps de concentration) à une mémoire débordante, où la Shoah est sollicitée de toutes parts. Aujourd'hui, toute guerre, toute souffrance fait invoquer ou nommer Auschwitz, exercice inquiétant que critique l'auteur : " Il n'est pas moins déloyal de s'approprier les morts que de les laisser tomber. Il n'est pas moins désinvolte d'oublier leur transcendance que d'oublier leur existence. "
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 2h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15166
Résumé:Il s'agit ici d'un choix de fables fait par le lecteur de la Bibliothèque sonore, Bertrand Baumann
Durée : 7h. 28min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14449
Résumé:Présentation de l'éditeur : L'Europe n'a plus conscience d'être une civilisation. Au nom de ses crimes anciens, elle a renié le meilleur d'elle-même. Mais en ce début de XXIe siècle, elle n'a plus rien à renier parce qu'elle a tout oublié. Appauvrie et démunie, elle veut être bien avec tous ses voisins, proches et lointains. Elle veut surtout faire le Bien : nos artistes, nos politiques, nos médias, et jusqu'à notre langage, sont maniaques de la vertu. Hélas, c'est la vertu des faibles. Notre Bien est peureux, négatif, superficiel, et surtout il est vide. Et si, au lieu de vouloir être bons, nous essayions d'être nous-mêmes ? Et si, face aux grandeurs des autres civilisations, nous songions à notre grandeur propre, qui n'est pas de chercher la perfection, mais de nous vouloir perfectibles, et de chercher le bien sans jamais quitter des yeux la beauté ni la vérité ?