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Recherche par mot-clé: Liberté de pensée

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Lu par : Anne Ballandras
Durée : 3h. 50min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 76695
Résumé:"Depuis L'Empire du Bien, le bien a empiré", assène Philippe Muray dans sa préface de 1998, rédigée sept ans après la publication originale de cet essai capital. Depuis la "fin de l'histoire", l'emprise de la bien-pensance et de la fausse altérité ne cesse de grandir : nous vivons à l'ère des "truismocrates", des fausses idoles éphémères et du vide universel au nom d'un humanisme privé d'humanité... La dictature du prêt-à-penser et de la bienveillance, rançon de l'inculture, empoisonne nos vies de joyeusetés factices dans lesquelles l'homme contemporain se perd en croyant "se trouver". C'est contre ce paradoxe permanent que l'auteur se dresse, nous invitant avec verve à conjurer la pensée unique et la lobotomisation des esprits. Et à célébrer la vraie liberté de penser, et donc de critiquer, avec un humour flamboyant, prophétique et ravageur.
Durée : 1h. 33min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 71826
Résumé:"C'est à nous, et à nous seuls, qu'il revient de réfléchir, d'analyser et de prendre des risques pour rester libres. Libres de nous engager et d'être ce que nous voulons. C'est à nous, et à personne d'autre, qu'il revient de trouver les mots, de les prononcer, de les écrire avec force, pour couvrir le son des couteaux sous nos gorges. A nous de rire, de dessiner, d'aimer, de jouir de nos libertés, de vivre la tête haute, face à des fanatiques qui voudraient nous imposer leur monde de névroses et de frustration - en coproduction avec des universitaires gavés de communautarisme anglo-saxon et des intellectuels qui sont les héritiers de ceux qui ont soutenu parmi les pires dictateurs du XXe siècle, de Staline à Pol Pot". Ainsi plaide Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo, lors du procès des attentats de janvier 2015. Procès intellectuel, procès historique, au cours duquel l'auteur retrace, avec puissance, le cheminement souterrain et idéologique du Mal. Chaque mot pèse. Chaque mot frappe. Ou apporte la douceur, évoquant les noms des disparus, des amis, leurs plumes, leurs pinceaux, leur distance ironique et tendre. Bien plus qu'une plaidoirie, un éloge de la vie libre, joyeuse et éclairée.