Recherche par mot-clé: Esprit et corps
9 résultats.
Lu par : Anita Renard
Durée : 6h. 10min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 74041
Résumé:En compagnie de Socrate, d'Aristote, de Nietzsche, de Pascal, de Heidegger ou encore de Sartre qui participent au Tour de France, le lecteur est initié au monde du cyclisme et de la pensée philosophique. L'auteur, cycliste professionnel, cherche à démontrer que l'effort physique de haut niveau n'est pas incompatible avec l'activité intellectuelle.
Lu par : Myriam Danard
Durée : 6h. 41min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 72976
Résumé:Synthèse de 22 techniques recueillies auprès de guérisseurs, de magnétiseurs et de médiums pour s'affranchir des émotions toxiques et retrouver son énergie.
Lu par : Françoise Chandavoine
Durée : 9h. 54min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 71676
Résumé:Fondée sur l'expérience de l'auteur, une approche non conventionnelle de la conscience, des mécanismes de défense et de la guérison nourrie des dernières recherches sur le cerveau et les psychédéliques. Entre doutes et certitudes, Stéphane Allix s'interroge : Comment entendre les messages et les signes que notre âme ne cesse de nous envoyer ? Pourquoi sommes-nous persuadés que notre vie se résume a notre existence terrestre ? Que notre conscience est limitée à l'activité de notre cerveau ? Quelles conséquences cet aveuglement a-t-il sur notre quotidien ?
Lu par : Catherine Thévenas
Durée : 9h. 24min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 68742
Résumé:Au Nigéria, dans la cosmologie igbo, lorsqu’un enfant est dans le ventre de sa mère, il est façonné par des esprits qui déterminent son destin. Mais à la naissance de la petite Ada, les portes entre le monde des humains et celui des esprits se sont temporairement ouvertes, le temps pour ces derniers de s’immiscer dans le corps de la fillette et de s’y trouver bloqués. Un pied dans le monde des vivants, un pied dans le monde des esprits, Ada va ainsi grandir envahie par un cortège de voix qui vont se disputer le contrôle de sa vie, fractionnant son être en d’innombrables personnalités. Mais lorsque Ada quitte son berceau géographique pour faire ses études aux États-Unis, un événement traumatique d’une violence inouïe va donner naissance à un nouvel esprit, beaucoup plus puissant, beaucoup plus dangereux. Ce nouveau «moi» prend possession d’elle et se nourrit de ses désirs, de sa colère et de sa rancœur. La vie de la jeune fille prend alors une tournure de plus en plus inquiétante, où la mort semble devenir une séduisante échappatoire. Ce premier roman à la force narrative enivrante donne à voir une version profondément originale des troubles de la personnalité. Avec une assurance rare et une énergie dévorante, Eau douce explore les abysses de l’être, pose un regard incisif sur les questions d’identité, de sexualité, de folie et d’acceptation de soi, et sonne l’émergence d’une nouvelle voix littéraire, unique et audacieuse.
Lu par : Anne de Kalbermatten
Durée : 7h. 23min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 66290
Résumé:" Plus d'un quart des personnes en deuil font l'expérience de formes diverses de communication spontanées après la mort d'un proche. Signes, messages, apparitions... il ne s'agit pas d'anecdotes rares ou suspectes, mais d'une réalité quotidienne et indiscutable vécue par plus de deux-cent mille personnes par an, rien qu'en France. Il n'est pas possible de réduire une telle quantité de témoignages à de simples hallucinations. Après Le Test, ces récits constituent une nouvelle preuve que la vie se poursuit après la mort. Ce n'est pas une croyance mais une déduction scientifique. Je suis journaliste. Celles et ceux que l'on a aimé poursuivent leur existence dans l'au-delà. Ils sont vivants, et tentent de nous faire signe. Ecouter ces témoignages permet de comprendre quelle forme d'existence nous attend après notre décès. Où se trouvent nos proches défunts ? Que font-ils ? Ont-ils toutes les réponses ? Qu'advient-il au moment de la mort ? Peut-on s'y préparer ? A ces interrogations pressantes, il est désormais possible de répondre. A travers ces incroyables témoignages, je vous propose de découvrir ce qu'il advient après... On demande des preuves, elles sont devant nos yeux. "
Lu par : Monique Gay
Durée : 10h. 56min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 36392
Résumé:« Mon but est de défendre la liberté de l’esprit. » La conscience humaine fait partie des derniers mystères non encore résolus. Le Moi n’est-il déterminé que par de la biochimie ? N’est-il que l’interface de notre cerveau, une sorte de scène de théâtre sur laquelle se joue une pièce que nous ne pouvons pas mettre en scène librement ? C’est ce que prétend le neurocentrisme. Cette doctrine issue des sciences de la nature part de l’hypothèse que le Moi est identique au cerveau. Markus Gabriel émet des doutes légitimes. Contre cette thèse rendant impossible toute connaissance de soi, il défend le libre-arbitre et nous livre une introduction à une réflexion philosophique moderne sur notre conscience. Avec verve et humour, il s’attaque à l’image scientifique du monde et nous invite à réfléchir à ce que nous sommes - grâce à Kant, Schopenhauer et Nagel, mais aussi en compagnie du Dr. Who, de The Walking Dead et de Fargo.
Lu par : Serge Cantero
Durée : 2h. 46min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 20148
Résumé:Spécialiste de Zhuang Zi et de la philosophie chinoise, Jean-François Billeter nous invite dans ce petit ouvrage à une réflexion féconde et profonde, à un "changement de paradigme". Le mot est à la mode, mais il est ici employé au sens plein. En effet, il s'agit de changer la manière dont nous pensons, agissons, dont nous concevons le rapport entre notre corps et notre esprit. Pour Billeter, il ne faut plus voir l'esprit comme ce qui fait agir le corps, mais le corps comme ce qui fait advenir l'action, la pensée, et la transcendance. Il n'est pas question ici de revenir au dualisme, fût-il inversé, mais de concevoir le corps comme une activité : "L'esprit ne descend plus sur nous, mais se forme en nous, de bas en haut. La dimension d'inconnu est au fond du corps et de son activité, elle n'est plus quelque part au-dessus" (p. 77). Il n'y a donc plus de transcendance, mais simplement moi, avec ma part de mystère, d'inconnu que j'ignore moi-même, et qu'il me faut laisser advenir. À travers les notions d'activité et d'intégration, associées au travail du corps, l'auteur nous invite à repenser la manière dont les idées nous viennent, la souffrance psychique, la religion ou le rapport au temps. Ce qui "prend" le lecteur dans ce livre, c'est la manière dont Jean-François Billeter décrit la naissance en nous de gestes (verser du vin dans un verre), d'idées ("L'idée vient en parlant", comme l'écrit Kleist), d'actions (Que vais-je faire aujourd'hui ?), d'une manière si précise qu'elle amène vraiment à s'interroger sur cet "avènement" de la pensée, comme production de l'activité du corps. (A. B. Esprit, novembre 2012)
Lu par : Pierre Biner
Durée : 13h. 58min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 18867
Résumé:Une douleur chronique impossible à soigner par la médecine traditionnelle incite Tim Parks à entreprendre un parcours de combattant dans le domaine des médecines douces. Et sa vie s'en trouve grandement transformée. Porté par une verve et une ironie constantes, ce témoignage débordant de vitalité ne veut convaincre personne mais en étonnera plus d'un.
Lu par : Janick Quenet
Durée : 4h. 52min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 18652
Résumé:Effectuer quelque chose à l'insu de soi-même, c'est ce que nous faisons tous chaque jour. Mais reste à savoir si cet « à l'insu de » est une condition nécessaire et quasi suffisante pour que ce quelque chose soit fait. L'image la plus simple de cette réalité complexe est tout entière illustrée par une devinette attribuée à Léonard de Vinci : « Qu'est-ce qu'on cherche sans le trouver ; qu'est-ce qu'on trouve sans le chercher ? - Le sommeil. » Ou encore - et cette fois c'est Stendhal qui formule l'idée : vouloir-être-naturel est impossible. Être naturel, c'est être naturel sans vouloir l'être - stratégie oblique de la volonté. Ainsi, certaines choses ne peuvent se réaliser qu'à l'insu du sujet, et non en toute conscience. Par rapport à l'inconscient, il y aurait donc une certaine positivité du non-conscient, que l'on peut essayer paradoxalement de penser, voire de favoriser. L'insu est pris entre le penser et le vivre. C'est l'enjeu de ce livre.