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Recherche par lecteur : Christiane Dulit

3 résultats.

Lu par : Christiane Dulit
Durée : 10h. 4min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 23630
Résumé:Seul, un soir, à la Comédie-Française, Julien voit apparaître une dame qu’il croyait disparue : Eleanor, cette Américaine riche et cultivée qui le logea au Quartier Latin dans les années 50. Un retour à ce passé et le lecteur suit les étapes d’intrigues joyeuses, amoureuses ou pathétiques qui se jouent entre le jeune homme et son entourage : cette Eleanor encore jeune ; ses enfants : la ténébreuse Olivia et Roland le sportif ; un hôte âgé qu’on nomme L’Oncle, médiéviste exilé, bientôt son ami. Le mal de Julien : ses amours mortes. Sa thérapeutique : la lecture. Son entourage : l’univers du livre, auteurs, éditeurs, libraires, bouquinistes, employés, originaux et esthètes. Qu’il cotoîe Alexandre Guersaint, son sévère mentor, Antoine le bibliophile, et, autour de la Sorbonne, les maîtres comme Gaston Bachelard, François Perroux ou chez Eleanor, Asturias, Darius Milhaud, Jouhandeau, une foule d’artistes, de gens du monde, d’idéalistes. Julien trouve un enrichissement, une formation. Ses plus intenses bouleversements se situent au sein de la famille généreuse et fantasque qui l’a accueilli. Le lecteur ira de surprise en surprise. Mais « Le Lit de la merveille » est avant tout un hymne au livre, au savoir, à la diversité, et cela dans un climat de charme, d’enthousiasme et de sensibilité. Robert Sabatier a écrit là le roman de l’amour du livre et c’est un livre d’amour.
Lu par : Christiane Dulit
Durée : 4h. 35min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 23742
Résumé:"Des milliers de lecteurs à travers le monde auraient payé cher pour être à notre place et nous, les deux nigauds, nous ne nous étions rendu compte de rien, du genre : "sympa, le pépé américain, tu ne trouves pas ?" Un jeune couple, lui écrivaillon trempant dans la pub, elle, agent immobilier remportant ses marchés grâce à la mise en valeur de sa poitrine, rencontrent en vacances Sebastian Bruckinger, un écrivain américain extrêmement célèbre qui fuit la renommée et se mure dans le silence. Le grand écrivain les invite chez lui... À partir de cette trame où plane l'ombre de Salinger, Éric Neuhoff bâtit un roman comme il sait si bien les faire, un livre où la désillusion se cache sous des chemises Brooks Brothers et où le salut par la littérature fait figure de rédemption existentielle. Neuhoff a gardé ce style néo-hussard qui ravit et irrite à la fois, ce regard cruel, cet humour morbide, cinglant, mélancolique et surtout cette "futilité profonde", la marque de fabrique des adolescents géniaux dont on espère qu'un jour ils deviendront de grands écrivains. Éric Neuhoff a aujourd'hui plus de quarante ans, Un bien fou est son cinquième roman.
Lu par : Christiane Dulit
Durée : 10h. 44min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 22783
Résumé:A la fin de la Seconde Guerre mondiale, Théo, quatorze ans, assiste à l'arrestation de sa mère, Adeline, qui subit l'humiliation de la tonte en place publique pour faits de collaboration. Il s'enfuit sans bien comprendre ce qui s'est passé, dans l'espoir de retrouver son grand-père à Paris. Adeline, jeune femme médecin, est en fait une résistante chargée de s'infiltrer dans un réseau nazi qui aide les chefs de la Gestapo à fuir vers l'Argentine. Mais son fils l'ignore et commence une longue errance sur les routes de France, en compagnie de la petite Marie qu'il a recueillie sur une plage après un bombardement. Clin d'oeil à 'Jeux interdits' avec la mort du petit chien de la fillette, tendresse et émotion font aussi partie de leur périple. Les deux enfants font preuve d'autant d'intelligence que de débrouillardise dans un monde où ils ne savent qui est leur ami ou leur ennemi.