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Recherche par auteur : Sonnay, Jean-François

4 résultats.

Durée : 5h. 22min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 13361
Résumé:Rose est une petite fille mignonne et très gaie, que tout le monde appelle Risette. Car à sa naissance, elle n'était pas plus grande qu'un grain de riz. Dès son plus jeune âge, Risette connaît des aventures surprenantes et magiques. Elle arrive à percer le secret du chant des oiseaux, aidée dans cette tâche par une sorcière, trois frères et pleins d'autres compagnons.
Durée : 5h. 46min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 39289
Résumé:Choses vues, ouï-dire, morceaux d’histoire, fables ou trouvailles scienti?ques, ces dix-huit récits parlent de la vie en société et du respect d’autrui, sans négliger le sauvetage des apparences qui les accommode si souvent. On les espère utiles aux citoyens, à tout le monde en somme, car il est souvent question de morale et de calculs, mais aussi de l’étrange réconfort qu’y apporte l’absence de vergogne. Inspirés par une vieille légende du Caucase, qui donne son titre au recueil, ces récits font se croiser des gens de guerre, des chiens de rue, des flibustiers, des petits oiseaux, un président des États-Unis, des victimes d’honneur, des animaux qu’on dit sauvages et des hommes qu’on pense ne pas l’être.
Durée : 6h. 48min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 14135
Résumé:Mot de l'auteur : Ce livre contient dix-sept textes, que je qualifie volontiers d'histoires parce que j'aime écouter et raconter des histoires. Une vie, un événement, une scène de rue, une surprise, un souvenir. Toute vie humaine est faite de mots autant que de chair et de situations. Souvent je suis parti de choses vues, de récits qu'on m'avait faits, d'anecdotes entendues à la radio ou lues dans les journaux. Ce que je raconte appartient à tout le monde, un peu à la manière des contes populaires, car bien souvent je n'ai rien inventé, seulement arrangé à ma manière ce qu'on m'avait dit, ce qu'on m'avait montré et que je n'aurais peut-être pas su découvrir tout seul. A la différence des contes, qui font bon marché de la vraisemblance, les histoires de "Vrai ou Faux" s'inscrivent dans la réalité, réalité historique ou réalité contemporaine, ce qui ne veut pas dire qu'elles se soient vraiment déroulées ainsi. Comme dans le roman, il y a un jeu, un balancement constant entre réalité et fiction...
Durée : 7h. 59min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 75448
Résumé:Zakir n’a plus de pieds. On les lui a coupés. L’autorité, pour être précis son représentant local, a ordonné qu’il soit empêché de marcher. On aurait pul’immobiliser entier dans une cage ou une prison, mais c’eût été le laisser dans l’idée qu’il remarcherait un jour et il n’en était pas question. Du même coup, on évitait l’embarras d’avoir à nourrir et loger un criminel tout en minimisant le risque de fuite. La détention présente le double défaut de coûter cher aux pouvoirs publics et de stimuler l’esprit d’évasion du reclus. C’est un bien mauvais calcul. Privé de pieds en revanche, le corps de Zakir devenait un pénitencier qu’il se chargerait lui-même d’entretenir à ses frais et dont il n’aurait aucune chance de sortir vivant. Libre à lui de se débrouiller à sa façon. On aurait aussi pu l’exécuter, mais c’eût été perdre l’occasion d’en faire un exemple durable. Moralité: qui veut ses pieds garder ne tentera pas de passer la frontière. La puissance de l’autorité ne se grandit-elle pas d’obliger le délinquant à faire lui-même la promotion de la loi désormais taillée dans sa chair? Le pourquoi de la frontière, le pourquoi de l’interdiction et l’attrait de la transgression, tout cela mérite réflexion. Le fait est que, depuis une vingtaine d’années, Zakir ne sort plus de chez lui et qu’à moins d’une révolution inimaginable, il n’aura plus jamais la faculté ne serait-ce que d’aller observer cette frontière qui pique toujours autant la curiosité.» Le jeune Gédéon, simple manoeuvre employé à la numérisation des fonds de bibliothèque, découvre toutes sortes de rapports confidentiels sur l’état du monde, désormais divisé entre surface ouvrière et cités connectées souterraines. Il s’instruit à sa façon et, forcément, s’interroge. À quoi désormais servent l’écriture et le papier?