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Recherche par auteur : San-Antonio

96 résultats. Page 4 sur 5.

Durée : 4h. 30min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 19415
Résumé:Le regroupement de ces textes nous met face à une des plus hautes figures de résistance intellectuelle que l'histoire européenne nous ait donné la possibilité d'admirer. Chez Gramsci, l'indignation ne suffit pas, si elle est le simple mouvement du coeur : elle commande l'analyse. Haïr l'indifférence, c'est à la fois haïr l'acceptation des choses comme elles sont et détester la confiance faite aux experts qui n'est autre que la paresse qui contribue au cours des choses quand elles ne se contente pas de la justifier. On trouvera ici un bréviaire de rébellion contre les choses comme elles vont des instruments d'analyse.
Durée : 2h. 48min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13245
Résumé:Un vieux monsieur agonisant, fait venir un écrivain dans sa maison de campagne, en Toscane, pour lui demander de transcrire le récit de sa vie. Il lui raconte des épisodes, à la fois drôles et tragiques.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 19h. 32min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 34362
Résumé:Odyssée fellinienne à l'humour ravageur, portrait au vitriol de la société colombienne, réflexion magistrale sur le rôle de l'écrivain, Un mal sans remède retrace les aventures d'Ignacio Escobar, poète frustré, dans le Bogotà des années 1960. Porté par une formidable énergie romanesque, un livre-culte salué par Gabriel Garda Marquez et Fernando Vallejo. Fils de bonne famille vivant des rentes de sa mère, résistant obstinément au désir d'enfant de sa compagne, sourd aux appels pressants de ses amis lénino-trotskistes qui l'exhortent à l'engagement, Ignacio n'a d'autre ambition que d'achever la grande oeuvre qu'il porte en lui, si possible sans avoir à se lever de son lit. Un soir, une dispute le force à quitter sa chambre et le précipite dans les rues de la ville. Commence alors une errance qui va l'exposer à toutes les situations qu'il s'était si bien employé à éviter... Ignacio Escobar finira par écrire son grand poème. Mais la réalité, plus forte, le détruira. La vie est un mal sans remède.
Durée : 1h. 5min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 73651
Résumé:Réfractaire au métier de pêcheur, Mario Jimenez trouve son bonheur grâce à une petite annonce du bureau de poste de l'île Noire. Facteur il sera, avec pour seul et unique client le célèbre poète Pablo Neruda. Leur relation, d'abord banale et quotidienne, se transforme, par la magie du verbe et de la métaphore, en une amitié profonde. Mais malgré leur isolement, l'Histoire les rattrape ... "Au Chili, tout le monde est poète. Tu seras plus original en restant facteur."
Lu par : Jean Frey
Durée : 3h. 18min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 65823
Résumé:Dans cette troisième enquête, Matteo Di Genaro est de retour à Paris. Le fils de François de Fidos, politicien nationaliste, est assassiné dans un squat de la rue de Rivoli. Entre les milieux d’extrême gauche et les extrêmes d’extrême droite, Matteo di Genaro mène un enquête à décharge: le suspect principal, un jeune Congolais, ayant une tête qui lui revient trop bien. Fidèle à son éthique minimale, Matteo examine la question des liens familiaux et du patrimoine et arrive à des conclusions inattendues, voire, dérangeantes. Écrit dans la veine des romans noirs satiriques, « 1, rue de Rivoli », s’intéresse moins à l’intrigue qu’à une critique sociale, centrée ici sur la problématique du logement et de la spéculation immobilière. S’il prend plaisir à jongler avec les idées et les mots, Di Genaro aime aussi lancer de temps à autre une balle courbe au/à la lecteur/trice, ne serait-ce que pour s’assurer qu’elle lui revienne (la balle, pas la lectrice) et que la liberté d’expression remplisse sa fonction: nous faire réfléchir.
Lu par : André Cortessis
Durée : 2h. 24min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 71428
Résumé:Dans cette troisième enquête, Matteo Di Genaro est de retour à Paris. Le fils de François de Fidos, politicien nationaliste, est assassiné dans un squat de la rue de Rivoli. Entre les milieux d’extrême gauche et les extrêmes d’extrême droite, Matteo di Genaro mène un enquête à décharge: le suspect principal, un jeune Congolais, ayant une tête qui lui revient trop bien. Fidèle à son éthique minimale, Matteo examine la question des liens familiaux et du patrimoine et arrive à des conclusions inattendues, voire, dérangeantes. Écrit dans la veine des romans noirs satiriques, « 1, rue de Rivoli », s’intéresse moins à l’intrigue qu’à une critique sociale, centrée ici sur la problématique du logement et de la spéculation immobilière. S’il prend plaisir à jongler avec les idées et les mots, Di Genaro aime aussi lancer de temps à autre une balle courbe au/à la lecteur/trice, ne serait-ce que pour s’assurer qu’elle lui revienne (la balle, pas la lectrice) et que la liberté d’expression remplisse sa fonction: nous faire réfléchir.
Lu par : Michèle Quellet
Durée : 2h. 13min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 34785
Résumé:Venise, épicentre du sublime et du tragique – voilà un sentier littéraire battu et rebattu, mais qu’importe, après tout ? Quand on est Matteo Di Genaro et qu’on peut s’offrir tout ce qui se vend sur la Giudecca, fascinante virgule insulaire au sud de la Sérénissime, on se prendrait presque pour un dieu… jusqu’au jour où la nouvelle de la mort mystérieuse de son jeune amant, Fabrizio, lui tombe dessus et le fait chavirer. S’engage alors une enquête trépidante, charnelle et sacrilège, émaillée de ces savantes digressions dont Matteo a le secret, à travers les brumes hivernales flottant sur les canaux de la lagune
Lu par : Françoise Aubry
Durée : 10h. 32min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 70117
Résumé:Rocco Schiavone est le genre de sous-préfet romain qu'on adore détester : mine grincheuse, ton sarcastique et langage fleuri. Dans cet épisode, il se promène dans son passé, déambule dans la Ville éternelle qu'il connaît par coeur, fréquente quelques malfrats et fume des joints, de préférence le matin. Sa femme n'est pas encore devenue le fantôme de ses remords : elle est vivante, passionnée par son travail, dévouée à ses amis. Jusqu'à ce fatidique 7 juillet 2007, jour de sa disparition. Une enquête haletante de Rocco Schiavone qui ravira les amoureux du commissaire Montalbano, de l'Italie et des polars à l'humour grinçant.
Durée : 6h. 27min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 67894
Résumé:Ester Baudo est retrouvée morte dans son salon, pendue. Le reste de l'appartement a été saccagé, et ce qui semble à première vue être un suicide se révèle vite un meurtre. On fait appel à Rocco Schiavone, ce drôle d'inspecteur, amateur de joints matinaux et de jolies femmes. Dans la petite ville grise et froide d'Aoste, il croise et interroge les proches de la victime. Il y a Patrizio le mari, Irina, la femme de ménage biélorusse à l'origine de la découverte du cadavre, ou encore celle qui semble avoir été la seule amie de la défunte, Adalgisa. Si la vie de la victime se dessine peu à peu, le mystère reste entier. Qui pouvait bien en vouloir à la calme et tranquille Ester Baudo ? Cette deuxième enquête de Rocco Schiavone, vice-préfet râleur, macho et doté d'un humour cinglant, ravira les amoureux du commissaire Montalbano, de l'Italie et des polars à l'humour grinçant.
Durée : 8h. 56min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 36191
Résumé:Chiara Breguet, héritière d'une riche famille d'industriels du Val d'Aoste, étudiante brillante admirée de ses pairs, n'a plus donné de ses nouvelles depuis plusieurs jours. Persuadé que cette disparition est inquiétante, Rocco Schiavone se lance dans une course contre la montre pour sauver la jeune femme et découvrir ce que dissimule la façade impeccable de ce milieu nanti. Pendant ce temps, la neige tombe sur Aoste en plein mois de mai, et cette météo détraquée ne fait qu'exacerber la mauvaise humeur légendaire de Rocco.
Durée : 8h. 56min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 36879
Résumé:Depuis qu’Adele, la fiancée de son meilleur ami, a été assassinée par erreur, l’inénarrable Rocco Schiavone ne croit plus en rien et s’isole dans une pension sordide. Il décide malgré tout de retrouver l’assassin de la jeune femme et se met à passer en revue tous ceux qui pourraient lui en vouloir : entre Stefania Zaccaria, qu’il a arrêtée pour proxénétisme, et Antonio Biga, malfrat septuagénaire à la retraite, la liste des candidats est longue. En parallèle, Rocco poursuit son enquête sur la famille Turrini, tous corrompus jusqu’à l’os. Rocco pense qu’ils sont les relais locaux de la ’ndrangheta, la mafia calabraise, visiblement bien implantée dans le Val d’Aoste. Rocco parviendra-t-il à aller au bout de sa traque effrénée? Trouvera-t-il le meurtrier d’Adele? Et surtout, Rocco ne commencerait-il pas à aimer cet Aoste froid et inhospitalier qu’il prend tant de plaisir à critiquer?
Durée : 6h. 52min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 75039
Résumé:Au lendemain de la deuxième guerre mondiale, Nicolas, un jeune psychiatre français, accepte un poste en Suisse dans une clinique connue pour ses méthodes humaines. Son épouse Anna a du mal à se faire à cette nouvelle vie, dans un village de montagne isolé. Nicolas, lui, se jette à corps perdu dans le travail, utilisant la thérapie par la parole pour permettre à ses patients de révéler leurs traumas, souvent liés à la guerre. Peu à peu, le médecin se retrouve confronté à son propre passé. Il va également se heurter à un bouleversement professionnel majeur : un nouveau médicament fait ses preuves dans le traitement de certaines pathologies mentales, et remet en cause son exercice de la psychanalyse. Roman historique et psychologique, Une tristesse infinie est traversé par la question de la culpabilité et du mal, de la responsabilité et du courage.
Durée : 7h. 36min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 35773
Résumé:Rassemble des textes de la dirigeante de la Ligue nationale pour la démocratie en Birmanie, prix Nobel de la paix 1991. Depuis 1988, elle affronte sans violence mais avec courage la dictature militaire régnant dans son pays où elle est assignée à résidence, dans un isolement complet. ©Electre 2017 " Ce n'est pas le pouvoir qui corrompt, mais la peur : la peur de perdre le pouvoir pour ceux qui l'exercent, et la peur des matraques pour ceux que le pouvoir opprime... Dans sa forme la plus insidieuse, la peur prend le masque du bon sens, voire de la sagesse, en condamnant comme insensés, imprudents, inefficaces ou inutiles les petits gestes quotidiens de courage qui aident à préserver respect de soi et dignité humaine. Un peuple assujetti à une loi de fer et conditionné par la crainte a bien du mal à se libérer des souillures débilitantes de la peur. Mais aucune machinerie d’État, fût-elle la plus écrasante, ne peut empêcher le courage de resurgir encore et toujours, car la peur n'est pas l'état naturel de l'homme civilisé. " A.S.S.K
Lu par : Roche
Durée : 2h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21801
Résumé:Parce qu'une toute petite fille semble le reconnaître à sa casquette, et qu'elle le désigne publiquement comme son père, un chef de gare se retrouve prisonnier de paysans vindicatifs.
Durée : 6h. 6min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 29880
Résumé:Un homme est hospitalisé à Lisbonne : dans ses viscères, une bogue ne cesse de grossir en silence, que le médecin appelle cancer. La douleur, l'opération, les traitements le plongent dans un état second. Remontent alors à la surface des souvenirs enfouis depuis toujours, qui se bousculent et s'entremêlent. Furieux contre cette mort « terrible et comique » qui se moque de lui dans l'obscurité, humilié par sa déchéance physique, « monsieur Antunes du lit numéro onze » divague dans les méandres de sa mémoire. Et c'est alors tout le monde de son enfance qui se rappelle à lui, avec ses sons, ses odeurs, ses visages. Tandis que médecins et infirmières défilent à son chevet, passé et présent se télescopent, et le voilà emporté, en compagnie de défunts décidément pleins de vie. Alors que le mal « aboie dans son ventre », ce passé ravivé agit comme un garde-corps, le seul peut-être à pouvoir l'empêcher de tomber dans « le ravin » qui s'ouvre au bord de son lit d'hôpital.
Durée : 16h. 55min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 34022
Résumé:En 1968, James Earl Ray assassine Martin Luther King à Memphis et prend la fuite. Entre le 8 et le 17 mai de la même année, il se cache à Lisbonne où il tente d'obtenir un visa pour l'Angola. En octobre 2013, sur les traces de James Earl Ray dans la capitale portugaise, Antonio Munoz Molina se remémore son premier voyage dans cette ville, en 1987, quand, mari et père immature, fuyant un travail médiocre, il essayait d'écrire son deuxième roman, une histoire d'amour sur fond de jazz et de roman noir, L'Hiver à Lisbonne. La fascinante reconstruction du séjour de l'assassin croise alors le passé de l'auteur, et les deux récits alternent. L'un, autobiographique, relate, à la première personne et sur un mode très intime, l'apprentissage de la vie et des mécanismes du roman ; l'autre, à la manière d'un thriller, témoigne de ce qu'est l'accomplissement de la fiction, quand, fondée sur le réel, elle va au-delà des faits pour entrer dans la conscience des protagonistes. En prestidigitateur, le grand écrivain espagnol fait entrer le lecteur dans le mystère de l'univers mental du tueur, où se mêlent racisme, misère, admiration pour les livres de science-fiction, et la certitude que l'on peut impunément tuer un Noir militant des droits civiques. Comme l'ombre qui s'en va est un livre important, hypnotique, qui prend le risque de mêler deux genres littéraires et, en dernière instance, expose la théorie du roman de l'auteur.
Durée : 35h. 16min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 18600
Résumé:Avec ces mille pages d'amour et de guerre, Antonio Muñoz Molina reprend les thèmes qui traversent toute son oeuvre - la mémoire historique, la conscience morale, l'infinie complexité des sentiments... Dans ce livre total, politique et sentiments sont les deux faces d'une tragédie qui plonge le personnage principal Ignacio Abel dans une spirale qui lui fera perdre son amour, son pays et son engagement. A la fin de 1936, cet architecte espagnol de renom, progressiste et républicain, monte les marches de la gare de Pennsylvanie, à New York, après un périple mouvementé depuis Madrid où la guerre civile a éclaté...
Lu par :
Durée : 3h. 30min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 23475
Résumé:«En contrepoint de ses œuvres de fiction, António Lobo Antunes, dans Livre de chroniques, ne cesse de laisser penser ses sens. Il bouscule une fois encore nos idées reçues sur l'écriture, fouille les labyrinthes de la mémoire, architecture ses obsessions : la guerre - celle des sexes, celle des Etats, celle des groupes sociaux, toutes celles qui donnent envie de "regarder, avec une émotion croissante, une gravure poussiéreuse dans le grenier qui montre une jubilante multitude de pauvres autour de la guillotine où l'on coupe la tête de rois" -, la cruauté, la désespérance. "Peut-être qu'il fait toujours nuit quand on a grandi ?" Le Livre de chroniques refermé, comme chaque page écrite par António Lobo Antunes depuis Le Cul de Judas, incite le lecteur à pénétrer dans cette nuit afin de mieux entendre la sienne.» Claire Juliet, Le Passe-Muraille Des scènes de l'enfance de A. Lobo Antunes ressuscitées dans leurs moments de grâce ou de terreur. Des fables sur des couples abîmés, fracturés, en mal d'amour, des évocations poignantes de tête-à-tête avec des patients qu'il soignait dans un hôpital psychiatrique. Des monologues de veuve, d'assassin, de colonel à la retraite, de collectionneur de papillons, de boxeur, de bègue...
Durée : 2h. 57min.
Genre littéraire : Roman d'amour
Numéro du livre : 21243
Résumé:Mario, fonctionnaire dans une petite ville de province, partage sa vie entre son travail et sa passion pour sa femme, Blanca. C'est un jeune homme simple, attaché aux valeurs traditionnelles du travail et du foyer, et si Blanca le fascine à ce point c'est qu'elle représente le côté exquis de la vie, l'insouciance bourgeoise, la fantaisie. Mais, peu à peu, Mario sent une menace inquiétante peser sur son couple. Blanca, qu'il a sauvée de la déchéance où s'enfoncent parfois les jeunes filles en quête de sensations fortes, s'évade, échafaude des projets qu'il ne comprend pas, lui échappe, et entre ces deux êtres que tout oppose l'incompréhension et la souffrance s'installent. L'amour peut-il survivre à sa propre disparition ? La réponse désespérée d'Antonio Munoz Molina dans ce court roman circulaire est une véritable leçon de stratégie littéraire et de maîtrise absolue du style, un bref et magnifique hommage à Flaubert.
Lu par : Sylvie Fournier
Durée : 6h. 50min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 36319
Résumé:Les frasques et les péripéties de Leonardo dans le Rio de Janeiro du début du XIXe siècle, ville métissée et haute en couleur qui héberge alors une foule de personnages truculents. Ayant un penchant pour l'inconvenance et l'effronterie, Leonardo choisit très tôt de vouer sa vie à l'oisiveté.