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Recherche par auteur : Renz, Béatrice

2 résultats.

Durée : 1h. 40min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 32032
Résumé:Dans cette interview à trois voix, sensible et directe, les interlocuteurs conduisent le lecteur à travers un itinéraire à la fois chronologique et thématique. Le livre s'ouvre sur une préface d'Isabelle Moncada, journaliste, et se clôt par la postface de Goran Grubacevic, philosophe. Entre-deux : les questions, posées par l'une et par l'autre des deux complices de cette aventure éditoriale, amènent Béatrice Renz à nous raconter son cheminement quotidien avec la sclérose en plaques, ses réflexions, ses découvertes. Entre autres, elle se remémore de manière très saisissante ses expériences de mort imminente (...) Quel que soit le sujet ou la tranche de vie examinée, ce qui frappe, c'est le regard que Béatrice Renz porte sur le monde. Ce regard est droit, courageux et lumineux. Il se dilate facilement dans une magnifique expression d'émerveillement. Ainsi, les sentiments qui dominent dans les textes sont la surprise, la bienveillance, la joie et la reconnaissance. Les réflexions de Béatrice Renz sont toujours exprimées dans le registre de la subjectivité. Ce qui fait de ce livre un précieux témoignage. Un manifeste de la croissance... intérieure
Lu par : Geneviève Roy
Durée : 58min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 18763
Résumé:"Avoir une sclérose en plaques va de pair avec quantité de deuils à accepter. C'est une longue évolution que je compare à une route jalonnée de tunnels. Mon premier tunnel, c'est-à-dire la première poussée de ma maladie, fut spécialement lugubre, long, noir, impressionnant: je ne voyais rien, je ne savais pas où j'allais sur cette route cahotante et pleine d'interrogations. Après d'interminables semaines, un jour, enfin, tout à coup, la lumière et l'air libre! De ce cauchemar- là, je suis sortie sans séquelles. Je ne peux vous dire combien j'étais heureuse. J'ai donc continué mon chemin, la tête pleine de projets, sans penser (sans savoir !) que ce tunnel n'était que le premier d'une longue suite."