Contenu

Catillon et les écus du diable

Résumé
Dernière sorcière brûlée en Suisse romande, Catherine Repond, dite Catillon, a été portée sur le bûcher à Fribourg, en 1731. Des sources exceptionnelles révèlent, en plus de la manière dont on fabrique une sorcière, aussi le courage de l'accusée, sa résistance, son audace incroyable. Josiane Ferrari-Clément nous apprend que Catillon, sa soeur Marguerite et Jacques Bouquet étaient mêlés à un vaste réseau de faux monnayeurs opérant depuis trente ans, à l'échelle internationale. Alors, brûler Catillon pour enfouir sous sa cendre la participation compromettante de membres du patriciat aux écus du diable?
Genre littéraire: Histoire/géographie
Durée: 2h. 24min.
Édition: Fribourg, Ed. de la Sarine, 2008
Numéro du livre: 16907
ISBN: 9782883551220
CDU: 340

Documents similaires

Lu par : Manon
Durée : 32h. 27min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 37247
Résumé:Récit dans lequel l'auteur a recueilli les mémoires de Napoléon Bonaparte au cours d'entretiens quasi quotidiens lors de son séjour à Sainte-Hélène. Contient l'essentiel des réflexions de Napoléon sur sa jeunesse, le récit de ses campagnes ainsi que les vicissitudes de sa captivité. Première édition établie à partir du manuscrit original retrouvé par les auteurs à la British Library.
Lu par : Gérard Pliquet
Durée : 28h. 15min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 36304
Résumé:Un récit collectif d'historiens en 140 dates, des temps préhistoriques aux attentats de 2015, narrant l'histoire d'une France en lien avec le reste du monde, revisitant la mémoire du roman national en l'élargissant dans une conception pluraliste de l'historiographie.
Lu par : Collectif
Durée : 4h. 57min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 21907
Résumé:La présidence de Salvador Allende fut une période passionnée et passionnante. Les discussions politiques rythmaient notre quotidien, tout le monde donnait son avis, les familles ou les amis se déchiraient avec violence. Quelque part, nous savions qu'il fallait vivre vite et intensément parce que ça n'allait pas durer longtemps... Tout en niant en même temps l'éventualité d'un coup d'État au Chili, cela paraissait impossible, les institutions étaient solides... Chaque Chilien a été l'acteur de sa propre histoire, un sujet à part entière, responsable de ses choix. Chaque Chilien a été l'acteur de cette histoire collective, de cette " révolution démocratique ". Dans ce livre, il y a des histoires individuelles et collectives, avec des souvenirs plus ou moins précis, des oublis plus ou moins volontaires, des mémoires plus ou moins sélectives.
Lu par : Arlette Bratschi
Durée : 15h. 14min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 19152
Résumé:Leurs noms suscitent la peur, parfois la terreur. Ils s'appellent Eichmann, Baader, Al Capone, Mesrine, Carlos. Des criminels, des terroristes ou tout simplement des monstres. Certains n'ont pas accédé à la célébrité mais n'en ont pas moins, en leur temps, semé la panique autour d'eux. Comme ces deux fous échappés de l'asile de Vannes, un jour de 1949, comme le tueur des enfants noirs d'Atlanta ou cet habitant de l'Alaska qui enlevait des femmes pour les chasser comme du gibier. Alors, contre eux, la traque s'organise. Ils sont devenus les ennemis publics n°1, les hommes à abattre. La police se mobilise pour les retrouver, parfois avec l'aide de la population. Rebondissements et coups de théâtre abondent dans ces récits haletants où le suspense est toujours au rendez-vous...
Lu par : Geneviève Roy
Durée : 1h. 45min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 18150
Résumé:« Je suis veuf, Sylvie est morte le 12 novembre, c'est bien triste, cette année on n'ira pas faire les soldes ensemble. Elle est partie discrètement sur la pointe des pieds, en faisant un entrechat et le bruit que fait le bonheur en partant. Sylvie m'a quitté, mais pas pour un autre. Elle est tombée délicatement avec les feuilles. On discutait de la couleur du bec d'un oiseau qui traversait la rivière. On n'était pas d'accord, je lui ai dit tu ne peux pas le voir, tu n'as pas tes lunettes, elle ne voulait pas les mettre par coquetterie, elle m'a répondu je vois très bien de loin, et elle s'est tue, définitivement. J'ai eu beaucoup de chance de la rencontrer, elle m'a porté à bout de bras, toujours avec le sourire. C'était la rencontre entre une optimiste et un pessimiste, une altruiste et un égoïste. On était complémentaires, j'avais les défauts, elle avait les qualités. Elle m'a supporté quarante ans avec le sourire, moi que je ne souhaite à personne. Elle n'aimait pas parler d'elle, encore moins qu'on en dise du bien. Je vais en profiter, maintenant qu'elle est partie. » Jean-Louis Fournier souhaitait mourir le premier, il a perdu. Sa femme partie, il n'a plus personne avec qui parler de lui. Alors pour se consoler, ou pour se venger, en nous parlant d'elle, il nous parle de lui.
Durée : 7h. 56min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17766
Résumé:De la mère aux épouses et aux amantes, toute l'oeuvre d'Ellroy procède du féminin et trouve sa source dans cet héritage maternel : l'obsession. En six mouvements d'une tumultueuse symphonie, James Ellroy revisite les moments clés de ses relations avec les femmes qui ont compté dans sa vie, à commencer par la première d'entre toutes : Geneva Hilliker Ellroy, objet d'une "malédiction" que son fils lança contre elle, enfant, souhaitant la voir morte. Après Ma part d'ombre et la vaine traque de l'assassin de sa mère, Ellroy entreprend une autre forme d'exorcisme : annuler cette malédiction à travers la quête des autres femmes, passer de "Elle" à "Elles". Les femmes comme cristallisation du désir, objets de fantasmes libérateurs ou destructeurs, sources d'influence ou d'inspiration littéraire, sont au centre de ce récit dans lequel Ellroy se raconte avec une féroce absence de complaisance, qui prend parfois l'allure d'une poignante confession. Mélange de rigueur, de mysticisme et de sexualité, ce livre, à la forme dépouillée et au contenu électrique, rassemble toutes les fulgurances et les faiblesses d'un homme hors du commun. C'est aussi un indispensable mode d'emploi littéraire pour qui s'intéresse à l'oeuvre d'Ellroy.
Lu par : Zeina Kayali
Durée : 2h. 29min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 32114
Résumé:L'écrivain et cinéaste évoque ses exils, ses souvenirs et ses réflexions. Le récit est entrecoupé de poèmes et de calligraphies.
Lu par : Manon
Durée : 3h. 58min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 37213
Résumé:Dans une petite ville du Moyen-Orient, Saïd et Nadia se sentent oppressés par les militants qui s'emparent du pouvoir. Ils décident de fuir et se rendent à Mykonos. Sur place, ils sont confrontés à l'affluence des immigrés et ne trouvent pas leur place à cause des politiques migratoires de plus en plus rudes. Ils s'échappent alors vers la Californie et se demandent si leur amour survivra.
Lu par : Manon
Durée : 7h. 31min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 29137
Résumé:Beyrouth, Liban, 1979. La guerre fait rage. Antoine appartient à la résistance libanaise. Il a 18 ans et se bat depuis 3 ans. Il est touché par balle, frôle la mort de justesse et perd l'usage de ses jambes. Il rêve de pouvoir remarcher, mais très vite il se rend à l'évidence. Profiter de l'instant présent devient une priorité dans sa vie. Dans ce livre, je vous raconte comment j'ai pu grâce à ma détermination et mon désir, surmonter cette épreuve de vie. Le handicap ne m'a pas empêché de créer une famille, d'avoir mes deux enfants, de parcourir le monde en vélo, de sauter en parachute, de traverser la méditerranée en pirogue, de créer mon entreprise et surtout de donner sens à ma vie.
Lu par : Frédéric Pajak
Durée : 2h. 36min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15932
Résumé:Lui à la plume, elle au fusain: Frédéric Pajak et Lea Lund racontent un quart de siècle de vie amoureuse. Un étrange voyage. C'est peu dire qu'ils ne se ressemblent pas: «Elle aime la musique, j'aime la lecture. Elle aime bouger, j'aime rester vissé sur une chaise. Elle aime sortir, j'aime rentrer, etc.» Mais, au-delà des considérations sur le lent délitement d'un couple, comme toujours avec Pajak, c'est l'art de la digression qui fait tout le charme de l'ouvrage. On passe ainsi de la vie désespérante de Paul Lafargue - gendre de Marx qui perdra ses trois enfants avant de se suicider avec son épouse en banlieue parisienne - aux conquêtes italiennes de Stendhal, d'un aphorisme déroutant de Karl Kraus - «L'Egypte, ça ne serait pas tellement loin. Mais pour arriver jusqu'à la gare»... - aux charmes des Abruzzes hors saison. Bref, un réjouissant coq-à-l'âne, rehaussé par les dessins décalés de Lea Lund - la pyramide du Louvre pour illustrer la haine de Paris nourrie par Stendhal...
Lu par : Jean Frey
Durée : 5h. 58min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15925
Résumé:En exergue de la préface de L'Orient après l'amour, une citation du conteur Rabbi Nahman - " Plus les temps seront durs, plus notre rire sera fort " - donne la mesure d'une épopée littéraire à taille humaine. Enfant algérien qui n'a pas " connu d'aubes ", Mohamed Kacimi entraîne le lecteur au rebours d'un itinéraire que ponctuent, entre autres, l'indépendance algérienne, le " redressement révolutionnaire " de Boumédiène en 65, la première guerre du Golfe et le conflit israélo-palestinien. De son enfance hantée par le charisme d'un grand-père cheikh et la " psalmodie incessante du verbe coranique ", de ses différents reportages à travers l'Orient pour la presse française (Actuel, Le Monde), ainsi que des nombreuses représentations de Terre sainte ou de 1962, ne résulte qu'un " constat amer ".
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 32min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17709
Résumé:Bakou, quelle idée baroque. Quelle villégiature improbable que cette capitale bétonnée d'une république de pipelines aux confins de l'ex-Empire soviétique... En 2003, Olivier Rolin y avait fait escale par hasard. En transit dans une chambre de l'hôtel Apsheron - nom si proche de l'Acheron, le fleuve grec des morts -, il y avait imaginé sa propre fin. L'écrivain revient cette fois hanter la ville, tenter le diable, rôder derrière des fantômes.