Recherche par auteur : Ellis, Bret Easton
8 résultats.
Lu par : Meriem Pouessel
Durée : 17h. 53min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 24562
Résumé:" Je suis créatif, je suis jeune, [...] extrêmement motivé et extrêmement performant. Autrement dit, je suis foncièrement indispensable a la société ". Avec son sourire carnassier et ses costumes chics, Patrick Bateman correspond au profil type du jeune Yuppie des années Trump. Comme ses associés de la Chemical Bank, il est d'une ambition sans scrupules. Comme ses amis, de il rythme ses soirées-cocktails pauses cocaïne. À la seule différence que Patrick Bateman viole, torture et tue. La nuit, il dévoile sa double personnalité en agressant de simples passants, des clochards, voire un ami. Mais il ne ressent jamais rien. Juste une légère contrariété lorsque ses scénarios ne se déroulent pas exactement comme prévu...
Lu par : Laurent Mantel
Durée : 21h. 39min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 22514
Résumé:L'ennemi numéro un des partisans du "politiquement correct" a encore frappé. Après avoir révélé, dans "American Psycho", la face obscure des "yuppies", Bret Easton Ellis noue ensemble la dictature de l'apparence et la brutalité aveugle du terrorisme dans "Glamorama". De New York à Paris, le narrateur, Victor Ward, ne sait plus distinguer la réalité de sa mise en scène. Son oscillation entre le monde glacé du "star-système" et ses divers représentants, et le monde politique des intrigues et des complots l'entraîne dans une dérive (très) sanglante. Manipulé de toutes parts, Victor souffre. Son identité et sa santé mentale connaissent quelques dérèglements. Ses seuls repères restent les noms de marques et les personnages connus, et la prolifération de dialogues idiots ou absurdes, contaminés par les pubs télé, masque la profondeur de son malaise. Victime et coupable, Victor est à l'image de ce qu'il montre, ambigu et flou. Roman de l'excès, "Glamorama" parachève avec brio le travail de sape des illusions entrepris par Bret Easton Ellis.
Lu par : Benjamin Jungers
Durée : 23h. 35min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 74785
Résumé:Los Angeles, 1981. Bret, dix-sept ans, plongé dans l’écriture de Moins que zéro, entre en terminale au lycée privé de Buckley. Avec Thom, Susan et Debbie, sa petite amie, il expérimente les rites de passage à l’âge adulte : alcool, drogue, sexe et jeux de dupes. L’arrivée d’un nouvel élève fait voler leurs mensonges en éclats. Beau, charismatique, Robert Mallory a un secret. Et ce secret pourrait le lier au Trawler, un tueur en série qui sévit dans les parages. Terrorisé par toutes sortes d’obsessions, Bret se met à suivre Robert. Mais peut-il se fier à son imagination paranoïaque pour affronter un danger menaçant ses amis et lui-même, et peut-être la ville et le pays entier ? Après six romans culte, Bret Easton Ellis revient avec le roman de la maturité, un texte étincelant profondément marqué par l’émotion.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 15h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16132
Résumé:Un roman complexe où l'auteur entremêle sa vie et celle des personnages qu'il a créés dans une fable sur la célébrité, ses avantages et le lourd tribut qu'elle réclame de ses trop consentantes victimes. Mélange habile de récit gothique, d'humour et d'autobiographie. Descriptions explicites de violence. (Canadian National Catalogue)
Lu par : Philippe Diserens
Durée : 5h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18064
Résumé:Quatrième de couverture : Moins que zéro n'a rien d'un manifeste. C'est un roman de Los Angeles, ville dure, ville sans âme. " On peut disparaître ici sans même s'en apercevoir ", écrit Bret Easton Ellis. L'auteur (qui a seulement vingt ans) ne cherche d'ailleurs pas à nous dire autre chose que ce vide, ce sentiment d'une existence privée de sens. Pour autant, son récit ne tourne pas en rond. Il y a, au contraire, chez Bret Easton Ellis une extraordinaire puissance de la narration. Il nous ébranle ce petit jeune homme. Ses références, il ne faut pas aller les chercher en littérature mais plutôt du côté du rock, ce reflet clinquant de notre époque. A l'image de cette musique, Ellis est spontané, violent et son expression dépouillée. Le roman des années est né. Ouf ! il était temps.
Lu par : Noëlle Baticle
Durée : 4h. 26min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 24912
Résumé:Clay, l'anti-héros du premier best-seller de Ellis, Moins que zéro, revient à Los Angeles. Il a vingt ans de plus, il est un peu plus vieux, un peu plus seul et désoeuvré. Il retrouve ceux qu'il a connus dans sa jeunesse, Blair, Trent, Julian, Rip. les représentants d'une génération dorée et perdue, abandonnés à la vacuité, la solitude et la vanité qui les détruisent. Producteur associé à l'adaptation cinématographique de son dernier scénario, Clay participe au casting du film, joue de son pouvoir, séduit Rain, une jeune actrice sublime et sans talent, lui fait de fausses promesses. Il est prêt à tout pour la posséder. Mais qui manipule qui ? Clay découvre vite qu'il est constamment observé et suivi.Jalousie, trahisons, meurtres, manipulations. ici, dans la Cité des Anges, chacun se heurte aux mêmes jeux d'emprise et aux mêmes démons, s'enivre de sexe, d'images, de drogues, de fêtes irréelles. et se révèle toujours plus amer et désespéré. Le vide et la fureur aspirent les personnages, et leur font perdre tout sens des limites. On est saisi par la virtuosité du style sobre et acéré, les chapitres courts donnent à la narration un rythme percutant. L'atmosphère est oppressante, la noirceur non dépourvue d'humour. L'angoisse et la tension croissantes annoncent une lente descente aux enfers. Le portrait de notre époque est aussi violent que subversif.
Lu par : Dominique Philippe
Durée : 9h. 18min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 69691
Résumé:Que raconte White, première expérience de " non-fiction " pour Bret Easton Ellis ? Tout et rien. " Tout dire sur rien et ne rien dire surtout " pourrait être la formule impossible, à la Warhol, susceptible de condenser ce livre, d'en exprimer les contradictions, d'en camoufler les intentions. White est aussi ironique que Moins que zéro, aussi glaçant qu'American Psycho, aussi menaçant que Glamorama, aussi labyrinthique que Lunar Park, aussi implacable que Suite(s) impériale(s). Loin des clichés toujours mieux partagés, plus masqué que jamais, Bret Easton Ellis poursuit son analyse décapante des Etats-Unis d'Amérique, d'une façon, comme il le dit lui-même, " ludique et provocatrice, réelle et fausse, facile à lire et difficile à déchiffrer, et, chose tout à fait importante, à ne pas prendre trop au sérieux ". Que raconte White en ayant l'air à la fois de toucher à tout et de ne rien dire ? Peut-être que le fil à suivre est celui du curieux destin d'American Psycho, roman d'horreur en 1991 métamorphosé en comédie musicale à Broadway vingt-cinq ans plus tard. Ellis a dit autrefois : " Patrick Bateman, c'est moi. " Il ne le dit plus. Et si Patrick Bateman était devenu président ? P. G.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 7h. 36min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 20828
Résumé:" Les trois meilleurs écrivains américains vivants sont Bret Easton Ellis, Bret Easton Ellis et Bret Easton Ellis. Tous les autres donnent sommeil (...). On lui reproche de ne parler que de sexe, de violence et de fric, mais c'est l'Amérique qu'il décrit - le pays qui mélange le mieux ces trois ingrédients. Dans Zombies, son quatrième livre, il enfonce le clou. On retrouve ses héros superficiels qui hésitent entre se tuer, regarder MTV ou reprendre un Valium (...). C'est un livre incroyable. Ellis fait précisément à la littérature ce que Basquiat a fait à la peinture : la réveiller."