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Recherche par auteur : Constant de Rebecque, Benjamin de (1767-1830)

3 résultats.

Durée : 3h. 34min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14150
Résumé:Adolphe est un jeune homme noble, promis à un bel avenir. Pourtant il s'ennuie, las d'une existence trop insipide à son goût. Lorsqu'il rencontre Ellénore, une femme plus âgée que lui et vivant avec le comte de P*** et leurs deux enfants, il tombe éperdument amoureux d'elle et décide de la conquérir coûte que coûte. Mais alors qu'Ellénore lui cède enfin, abandonnant protecteur et enfants pour devenir sa maîtresse, Adolphe comprend qu'il ne l'aime plus, son désir n'ayant été attisé que par la difficulté de son projet. Incapable de quitter Ellénore, mais tout aussi incapable de continuer à vivre avec elle, Adolphe se trouve alors confronté à une situation inextricable.
Durée : 1h. 43min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 14574
Résumé:Ce texte polémique écrit en 1814 conserve au regard de l'actualité internationale une force d'interpellation intacte : « Le droit des nations deviendrait un code d'expropriation et de barbarie : toutes les notions que les lumières de plusieurs siècles ont introduites dans les relations des sociétés, comme dans celles des individus, en seraient de nouveau repoussées. Le genre humain reculerait vers ces temps de dévastation, qui nous semblaient l'opprobre de l'histoire. L'hypocrisie seule en ferait la différence ; et cette hypocrisie serait d'autant plus corruptrice que personne n'y croirait. Mais autre chose est défendre sa patrie, autre chose attaquer des peuples qui ont aussi une patrie à défendre. L'esprit de conquête cherche à confondre ces deux idées. Certains gouvernements, quand ils envoient leurs légions d'un pôle à l'autre, parlent encore de la défense de leurs foyers ; on dirait qu'ils appellent leurs foyers tous les endroits où ils ont mis le feu. »
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 1h. 17min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 17459
Résumé:La liberté qui caractérise les sociétés modernes (Liberté des Modernes) pour Constant peut aisément être considérée comme une liberté négative. Ainsi, ce n'est pas la participation à la délibération commune qui rend un individu libre, mais l'exercice de ses droits et libertés fondamentaux. C'est pourquoi les attributions du Léviathan, que constitue à l'évidence l'État, doivent être bornées. Ces limites ne sont autres que les droits, à la fois, naturels, immuables et universels de l'individu. Ce qui caractérise essentiellement l'homme n'est non pas l'appartenance mais, au contraire, l'autonomie ainsi que la perfectibilité. Loin de devoir entraver les initiatives individuelles, l'État doit en devenir l'auxiliaire. L'artifice étatique n'est qu'un moyen, un instrument, dont la fin est l'individu.