Recherche par auteur : Bott, François
5 résultats.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 1h. 22min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 33247
Résumé:Un recueil de plus de 60 aphorismes, maximes et exercices de style inspirés de scènes et de séquences de la vie quotidienne dans l'autobus et le métro, lieux de rêves, de passages, d'espoir et d'émotion.
Lu par : Jean-Claude Durak
Durée : 3h. 35min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 21013
Résumé:François Bott aime les femmes et certaines plus que d'autres. Il nous propose dans Femmes extrêmes de partager son intimité littéraire et affective avec quelques-unes d'entre elles : Zelda Fitzgerald, symbole de toutes les générations perdues ; Ava Gardner, la sublime comtesse aux pieds nus ; Helen Hessel, l'héroïne de Jules et Jim ; Billie Holiday, la plus grande chanteuse de blues ; Milena Jesenska, la passion de Franz Kafka ; Julie de Lespinasse, l'amoureuse mystique du siècle des lumières ; Carson McCullers, la fiancée de l'Amérique ; Louise Michel, l'héroïne de la Commune de Paris ; Edith Piaf, dont les brèves amours avec Marcel Cerdan firent pleurer la France : Sylvia Plath, météore des lettres américaines : et Jean Rhys, la passante exotique de toutes les rives gauches d'Europe.
Lu par : Manon
Durée : 1h. 29min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 29049
Résumé:Lu par Manon. A Monaco, en mai 1968, le peintre Van Dongen, vivant ses derniers instants, se souvient des femmes qui ont marqué sa vie et son oeuvre, et de ses amis artistes.
Lu par : Jean-Yves Fournier
Durée : 2h. 6min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 22545
Résumé:Vingt ans après, Paris s'abandonnait aux premières douceurs du mois de mai, tout de même soulagé d'avoir rempli les formalités de l'an 2000 et d'avoir franchi sans trop de peine cette douane mythologique. Cela n'avait pas été plus compliqué que d'aller de la rive droite à la rive gauche, par le métro aérien qui vous emmène de Passy à Bir-Hakeim, même si personne, excepté les meilleurs élèves des classes terminales, ne savait plus que cette dernière station portait le nom d'une bataille du printemps 1942, en Libye, dans le désert de Cyrénaïque, pas très loin de Tobrouk. C'est où Tobrouk, et c'est où la Cyrénaïque ? Antoine Duval descendit à La Motte-Picquet-Grenelle. Il se sentait allègre et disponible. Il y a des jours comme cela, où la vie ressemble à une musique légère. Ce vieux jeune homme se rendait à son déjeuner mensuel au restaurant La Gauloise, avec ses amis Georges et Olivier, journalistes comme lui. «Les journaux sont de grands navires qui veillent sur les villes», disait-il volontiers. Dans ses meilleurs moments, il essayait de se persuader que les journalistes étaient exemptés du malheur et même dispensés de mourir, puisque leur vocation était de raconter les malheurs et la mort des autres. Il voulait croire que les narrateurs échappaient à tous les désastres, tous les tremblements de terre, tous les raz-de-marée, et qu'ils continuaient de vivre pour témoigner. La mort était à leur programme comme une matière facultative. Ces repas entre amis se déroulaient selon le même ordre, la même liturgie presque. Après avoir commandé une bouteille de bordeaux (la réserve du patron), on parlait de littérature, de politique, de football... et, naturellement, des femmes. Les femmes mythologiques, les femmes quotidiennes, les femmes fatales, les femmes miséricordieuses, les femmes charmantes, les femmes charmeuses, les femmes de pouvoir et les dames de coeur...
Lu par : Delphine Chartier
Durée : 3h. 16min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 23473
Résumé:D'aujourd'hui et de naguère, les nouvelles de François Bott captent dans de brèves aventures l'air du temps, sa fuite surtout, sans parler de la mort, qui ne se laisse jamais oublier. Ses héros sont aussi bien un footballeur qu'un vieux militaire, un journaliste malheureux, deux amants reliés par le TGV, un receveur des Postes qui communique sa passion de l'astronomie à un chef de gare. Mais soudain nous reconnaissons deux dames qui bavardent dans un salon de thé : Marie de Rabutin-Chantal et Sidonie Gabrielle Colette. Et cet Émile qui, en pleine Révolution de 1848, alors qu'il est tard et que sa femme lui demande en vain d'aller se coucher, va passer la nuit à rédiger un dictionnaire... C'est toujours le goût des mots, ou celui de prendre les êtres au mot. La dernière nouvelle, «Jerome David et Boris», est à la fois étrange et émouvante. En 1944, un jeune homme de Ville-d'Avray attend l'arrivée des Américains en jouant de la trompette. Dans la première jeep qui survient se trouve Jerome David Salinger. Le jeune homme français, c'est Boris Vian. L'un écrira L'attrape-cœurs, et l'autre L'arrache-cœur.