Recherche par auteur : Blok, Stéphane
5 résultats.
Lu par : Gilbert Bezençon
Durée : 1h. 37min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 69048
Résumé:Le dernier recueil de Stéphane Blok compile des œuvres écrites depuis 2014 avec un étonnant soucis de cohérence ; apparaissent et réapparaissent sans cesse les mêmes interrogations, la même thématique – l’humain errant dans la nature, là où le bonheur et la mort sont intiment liés. Là où la poésie s’exprime avec aisance, et fait ressentir les doutes, les joies, les questionnements, sans jamais chercher à y répondre. "Les arbres bruissent, même quand je n’y suis pas L’orage éclate, même quand je ne l’entends pas Le cours d’eau se faufile, même quand je ne le remarque pas L’herbe bouge, que je m’y couche ou pas Le sentier amène à l’horizon, même quand je ne l’emprunte pas Et le soleil réchauffe les pierres, même quand je n’en profite pas De nouvelles pousses apparaissent, même quand je n’y songe pas Et meurent, même si je ne le désire pas Après la pluie, la terre est humide Après les nuits chaudes, la rosée est là Après tout, même quand je n’y suis pas."
Lu par : Karine Gremaud Mettraux
Durée : 1h. 15min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 65807
Résumé:Depuis 1797, le temps d’un été par génération, la place du Marché de Vevey accueille la Fête des Vignerons et son spectacle. Voici le livret de l’édition 2019, écrit pour la première fois de son histoire à quatre mains. Au fil des poèmes qui le constituent, on retrouve le cycle des saisons et la terre, les hommes et les femmes qui exercent les travaux de la vigne. À la manière d’une treille, ce texte entremêle le régional et l’universel, le traditionnel et le contemporain, le concret et l’onirique. Un éloge des sens, de la lenteur, du vivre ensemble, de la nature, du « repaysement ».
Lu par : Serge Cantero
Durée : 1h. 7min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20201
Résumé:Le livre de Stéphane Blok, Le Ciel identique, est un roman. Mais il l'est par défaut. En effet, de par sa longueur, il pourrait être une nouvelle. Et pourtant, cela ne tient pas la route. Certes il ne comporte pas plus de nonante pages et nombre d'entre elles sont loin d'être noircies de mots, mais il n'est pas condensé comme une nouvelle devrait l'être, en principe. Au contraire il serait plutôt expansé, comme s'il était la caisse de résonance des trois questions ouvertes que représentent ses trois chapitres et ses trois épilogues en un seul. Comme c'est bien une oeuvre de fiction, il n'est pas d'autre genre que le roman qui puisse lui être attribué. Comme l'esprit humain a besoin de catégoriser pour se rassurer, il affuble un qualificatif accolé au mot roman pour lui trouver une identité. Et celui qui vient au même esprit humain, en l'occurrence, pourrait bien être poétique. Ce qui tombe bien puisqu'il est suivi de quelques poèmes, intitulés Chants entre les immeubles. Francis Richard
Lu par : Serge Cantero
Durée : 1h. 43min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 35145
Résumé:La force de la vision, c’est ce que l’on retient d’emblée des Fables de la joie, troisième ouvrage de Stéphane Blok. Le conte démarre à la façon des récits post-apocalyptiques: un homme se décide à sortir du lieu où il se trouve, un tunnel, une sorte de cavité, dont il parvient à défoncer la porte avec une barre métallique. On imagine un accident de la route. Mais le paysage que le personnage découvre une fois à l’air libre change la donne. Dans un brouillard épais se déploie un paysage entièrement blanc, recouvert d’une couche de poussière blanche qui s’avérera être de la suie, «aucune trace de vie, aucun arbre, aucune herbe, aucune couleur, rien». [Source : Le Temps]
Lu par : Serge Cantero
Durée : 59min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 19930
Résumé:Je peux affirmer aujourd'hui que je t'ai aimée bien que tu fusses à des kilomètres de moi. Ah si le monde était aussi compliqué qu'on veut bien le dire ! Mais tout est limpide et l'esprit appartient au délire. Alors je t'ai détestée calmement parce que tu étais à des kilomètres de moi et que tu me poursuivais jusque dans mes regards. Ah si les regards étaient des sourires. Mais les regards sont remplis de pensées limpides et débordent du regard des autres qui vous regardent, et, les yeux dans les yeux, je t'aime encore.