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Au-dessus de la mêlée

Résumé
Au-dessus de la mêlée est le plus célèbre manifeste pacifiste de la Grande Guerre. Comparable au J'accuse de Zola, il fut publié par Romain Rolland le 24 septembre 1914 dans Le Journal de Genève. Ce texte exceptionnel, qui exhorte les belligérants à prendre de la hauteur pour saisir l'ampleur du désastre, provoqua aussitôt de nombreuses réactions violentes et haineuses envers son auteur, dont la lucidité, l'idéal de non-violence et de communion entre les peuples furent néanmoins récompensés, dès l'année suivante, par le prix Nobel de littérature.
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 6h. 24min.
Édition: Paris, Payot, 2019
Numéro du livre: 67512
ISBN: 9782228924153
Collection(s): Petite bibliothèque Payot
CDU: 940

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Lu par : Manon
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Résumé:
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Résumé:Selon Jean-Jacques Langendorf, écrivain et historien militaire, dont ce livre a fait parler de lui jusque dans la grande presse, " la plus grave menace pour la Suisse vient aujourd'hui de l'intérieur: c'est le dénigrement permanent et obsessionnel auquel se livrent les médias et l'intelligentsia de gauche. Par leurs écrits, leurs discours, le choix de leurs mots et de leurs images, des gens influents expriment leur haine du pays où ils vivent et salissent son présent et son passé aux yeux du monde. Il est dès lors salutaire que d'autres voix s'élèvent pour rectifier les faits, dénoncer les manipulations, défendre notre honneur ".
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Résumé:À la date du 3 janvier 1939, dans "le salon de lecture" d' "Alger républicain", Albert Camus donnait la lecture suivante de la "Lettre aux paysans sur la pauvreté et la paix" de Jean Giono. "Cette petite brochure de Giono s'adresse aux paysans et, par certains de ses accents, constitue un réquisitoire violent (mais non sans nostagie) contre l'ouvrier. On en jugerait mal cependant si on ne savait pas que, dans le dernier numéro des "Cahiers du Contadour", Giono est revenu sur sa position et a précisé que, devant les évènements de septembre 1938, désespérant de la classe ouvrière, il s'est adressé aux paysans comme au dernier espoir des hommes pacifiques. Quoi qu'il en soit, et dégagée de l'actualité, cette "Lettre" ne s'oublie pas facilement. Giono s'est débarrassé, à ce propos, de tout lyrisme et privée de la surabondance poétique qui l'alourdit si souvent, sa phrase est ici rapide et nette. Si je puis dire elle est "parlante". On serait même tenté de croire, à la lire, que Giono est moins poète quon ne le croit et qu'à sa façon, il se rattache à cette lignée de prosateurs moralistes qui figure assez bien la tradition littéraire de la France. On en juge, du moins, au bon sens dévastateur et à l'impitoyable lucidité qui font le prix de cette "Lettre".
Lu par : Nelly Koeppel
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Résumé:Passionnant exemple d'une vie exceptionnellement élevée. Il avait totalement intégré le fait que la vraie richesse n'est que spirituelle, et il a eu le libre arbitre suffisant pour mettre en pratique ses convictions. N'essayons pas de singer son comportement dans notre propre vie, mais par cet exemple comprenons que chacun d'entre nous peut, en élevant sa propre conscience, contribuer à faire (ou à refaire) de notre planète le paradis qu'elle aurait dû être à l'aube de l'humanité.
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Résumé:Publié clandestinement sous le pseudonyme de Forez en 1943 aux Éditions de Minuit, Le Cahier noir se rattache à la période pendant laquelle Mauriac collabora à la presse clandestine de la Résistance. Par de violentes attaques, l'auteur condamna l'attitude du Maréchal Pétain et des Français qui acceptèrent de composer avec l'ennemi. Il tenta d'imposer des paroles d'amour et d'espoir : « Nous sommes de ceux qui croient que l'homme échappe à la loi de l'entre-dévorement, et non seulement qu'il y échappe, mais que toute sa dignité tient dans la réistance qu'il lui oppose de tout son cœur et de tout son esprit. » De tels propos firent courir de grands risques à son auteur, qui retiré dans sa propriété de Malagar, près de Bordeaux, dut fuir pendant quelques heures à pied, dans la campagne, pour ne pas être arrêté. Tant pendant qu'après la Seconde Guerre mondiale, Le Cahier noir a valu à Mauriac l'admiration de nombreux intellectuels.
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Lu par : Geneviève Cail
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Résumé:La Seconde Guerre mondiale a duré près de six années, aussi longues que terribles. Une durée qui s'explique par les formidables moyens que les belligérants déployèrent sur terre, sur mer et dans les cieux - rendant vain d'espérer abattre l'ennemi par une campagne unique -, mais aussi, et pour une large part, par les erreurs commises. Si Hitler ne s'était pas obstiné à gagner la bataille d'Angleterre, si la France, en mai 1940, n'avait pas imprudemment lancé ses forces en Belgique et aux Pays-Bas, si les Anglo-Américains n'avaient pas débarqué en Afrique du Nord... la face de la guerre en eût été changée et sa durée vraisemblablement raccourcie. En traquant les fautes commises par les deux camps, ce livre, sans jamais céder aux vertiges de l'uchronie, vise particulièrement à explorer la rationalité des acteurs. Car les décisions prises par les dirigeants politiques ou les chefs militaires reposaient sur un ensemble de paramètres qu'il importe de décrire, afin de comprendre pourquoi ils menèrent à l'échec. Informations parfois imparfaites, moyens souvent limités, hypothèses par moment fallacieuses : autant de facteurs qui conduisirent, plus d'une fois, au désastre. Malgré les enjeux colossaux d'une guerre où des millions de vies étaient en jeu, l'orgueil, l'obstination, le carriérisme et l'opportunisme pesèrent également lourdement dans la prise de (mauvaises) décisions. Autant de cas de figures célèbres ou méconnus qu'illustrent, de Stalingrad à "Market Garden", de la stratégie navale des Japonais à l'insurrection de Varsovie, vingt contributions proposées par les meilleurs spécialistes de la Seconde Guerre mondiale. Des chapitres courts et enlevés au service d'une lecture novatrice du conflit.
Lu par : Marc Levy
Durée : 8h. 42min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 66458
Résumé:Durant la Seconde Guerre mondiale, le vin français n’a pas été un produit anodin : il s’est révélé être, avec la défaite, le butin le plus précieux de France aux yeux des dirigeants nazis. Dès 1940, des « Weinführer », délégués officiels désignés experts en vin et nommés par Berlin, prennent place dans toutes les régions viticoles de France pour coordonner le plus intense pillage que le pays ait connu jusqu’alors. Avec le relais très ambigu de l’État de Vichy et la collaboration de bien des professionnels français avec l’occupant, cet immense dispositif de captation de vin fut un drame que l’on a préféré oublier. Plus de soixante-dix ans après la fin du conflit, le temps est venu de livrer ce qu’il s’est vraiment passé. Au terme d’une enquête minutieuse, et s’appuyant exclusivement sur des sources inédites restées jusqu’alors inexploitées, Christophe Lucand nous révèle l’histoire d’un monde viticole français soumis à l’épreuve de la guerre, de l’occupation et de toutes les compromissions.