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Post-scriptum

Résumé
Dans les années 1930, Lionel Kupfer, star du jeune cinéma allemand, vient se reposer dans un palace des montagnes suisses pour attendre son prochain tournage. C'est l'hiver et il s'ennuie, jusqu'au jour où il rencontre Walter, le postier du village, qui devient très vite son amant. Ce qui pour Kupfer est une simple aventure sera pour Walter le grand amour de sa vie. Mais Hitler vient de prendre le pouvoir et bientôt Kupfer apprend qu'il ne pourra plus tourner car il est juif. Il s'exile alors aux Etats-Unis, en même temps que les célèbres cinéastes juifs allemands qui feront la gloire d'Hollywood. Après la guerre, les amants d'un jour se croiseront dans un avion mais l'un comme l'autre, par élégance ou par sagesse, préféreront ne pas se reconnaître. Alain Claude Sulzer retrouve ici l'empathie avec ses personnages qui faisait le charme poignant d'Un garçon parfait. Il sait comme personne décrire avec délicatesse les amours impossibles où la différence est moins dans le sexe que dans l'âge et la condition sociale.
Mots-clés: Amour
Durée: 8h. 8min.
Édition: Paris, Jacqueline Chambon, 2016
Numéro du livre: 34071
ISBN: 9782330066567

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Résumé:Le brusque silence est plus bruyant qu'un coup de cymbales. Alors qu'il est en train d'interpréter la Sonate pour piano n°29 de Beethoven, Marek Olsberg, pianiste de renommée mondiale, s'interrompt, ferme le piano, se lève et quitte l'estrade sur ces mots : " C'est tout. " Ce geste inouï ne va pas seulement ouvrir des perspectives inattendues dans la carrière bien rodée d'Olsberg, il va aussi bouleverser la vie des autres personnages venus assister au concert. Ainsi Esther, en rentrant chez elle plus tôt que prévu, découvre que son mari mène une double vie et que derrière le respectable chirurgien un peu guindé se cache un cochon lubrique. Astrid, la fidèle secrétaire qui a consacré sa vie au grand musicien, voit disparaître sa raison de vivre. Des existences vont être bousculées, des secrets révélés, des intimités trahies. Alain Claude Sulzer dévoile ici la labilité des consciences que cache la fausse sécurité de vies en apparence bien rangées. Une comédie cruelle et légère sur les étranges retournements du destin, sur le hasard et sur le désir irrépressible de changement.
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Résumé:Trois amis partent pour un mariage en Macédoine. Lui ne voulait pas y aller, mais George et Paul l'ont convaincu. Alors il est parti. Et tout s'est détraqué avec l'alcool, la paresse et Gaïa, une femme aux cheveux noirs, à la nuque très fine. Avec George, ils la séduisent, puis l'emmènent dans leurs rêveries et leurs mélancolies, jusqu'à Istanbul. Le triangle amoureux prend des allures de tragédie. Celui qui ne voulait pas y aller n'en reviendra pas complètement.
Lu par : Clélia Strambo
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Résumé:Quatrième de couverture: Qui n'a jamais été tenté de s'affranchir de toutes les certitudes et de tous les dogmes dans l'exploration des corps et des gestes du corps au-delà de l'imaginé et de l'imaginable? Qui n'a jamais rêvé de découvrir dans l'abandon de soi entre les mains de l'autre la connaissance ultime et sereine de toute existence? Rarement quête initiatrice de soi par l'amour, dans un élan dévastateur, total et absolu n'aura été décrite avec autant de précisions. Avec un art consommé, Asa Lanova nous plonge dans ces moments de trouvle fondateurs que sont la montée du désir, la rerreur de l'absence, le pas de la femme ou de l'homme attendu, la terreur des nuits vides et solitaires... Dans une écriture sensuelle, où les mots ressemblent à un long et haletant murmure susuré à fleur de peau de l'être aimé et désiré, Asa Lanova nous convie à l'émerveillement frémissant, tour à tour doux, dur ou violent de la passion au quotidien.
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Mathilde a dix-sept ans, et puis trente et presque cinquante. Elle aime les histoires, les gens et les portraits de gares. Elle aime les cols hauts, les chaussettes de ?l et les collines du Sud. Et puis, elle aime Jean. Un jour, Jean a trébuché, assommé par la peur. Il s’est oublié. Mathilde est partie, sans se retourner. Incapable de pardonner, incapable de cesser d’aimer. L’amitié, la maternité assècheront sa peine, sans pourtant éteindre ses solitudes ou ses silences. En forme de road movie ferroviaire, huis-clos intime entrecoupé de rêveries de passage et parsemé de personnages bizarres, lumineux ou parfaitement soûls, le roman se déroule au rythme d’une déchirure, entre les frissons du manque et l’embrasement des désirs. La culpabilité aussi, qui s’insinue sous les douceurs, la reconstruction, du corps et de la volonté, et le désespoir, finalement, des adieux.