Feydeau
Résumé
Occupe-toi d'Amélie, Un fil à la patte, Feu la mère de Madame... les pièces de Georges Feydeau, régulièrement reprises depuis leur création, sont désormais des classiques du théâtre comique. La Dame de chez Maxim est devenue, plus qu'une pièce à succès, le symbole même d'une certaine vie parisienne du début du siècle. Derrière cette joyeuse unité, une vie chaotique, contradictoire. Une naissance controversée : Georges Feydeau était-il le fils d'Ernest Feydeau, écrivain célèbre en son temps, ami de Haubert et de Gautier, ou du duc de Morny, voire de Napoléon III, pour lesquels Mme Feydeau eut simultanément des bontés ? Une éducation floue, deux passions - le théâtre, mais aussi la peinture (il fut le plus grand collectionneur d'impressionnistes de son temps). Une troisième passion aussi, plus ravageuse : le jeu, où s'engloutit la fortune acquise sur les planches... La traversée d'une époque qui va de Flaubert à Sacha Guitry, Cocteau et Tristan Bernard, et du théâtre à son zénith aux débuts du cinéma. L'itinéraire d'une vie qui passe du donjuanisme triomphant aux amours interdites. Bref, un personnage insoupçonné.
Pas disponible en CD.
Lu par :
Roger Messié
Genre littéraire:
Biographie/témoignage
Mots-clés:
Théâtre français -19e siècle
/
Théâtre français -20e siècle
Durée:
13h. 40min.
Édition:
Paris, Flammarion, 2011
Numéro du livre:
25856
Produit par:
Association Valentin Haüy
ISBN:
9782081261679
Collection(s):
Grandes biographies
CDU:
8
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Genre littéraire : Biographie/témoignage
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Résumé:Unanimement admirés, les films de Jean Renoir s'accordent mal au portrait jusqu'à présent dessiné de leur auteur, contrastés et divers quand l'homme est présenté d'un seul tenant. Le projet est né de ce constat, du désir de retracer l'histoire d'un des grands acteurs de son siècle, et d'une question jusqu'alors sans réponse : comment un même cinéaste a-t-il pu mettre en scène des classiques aussi dissemblables que Le Crime de M. Lange, La Grande Illusion et La Règle du jeu ou Le Fleuve ? À Renoir, ses admirateurs ont donné toujours raison. Enfant d'un immense peintre, combattant et mutilé de la Première Guerre, dandy fortuné dans les années vingt, proche des communistes dix ans plus tard, puis exilé volontaire à Hollywood, « inventeur » du cinéma aux Indes, « patron » de la Nouvelle Vague, écrivain enfin, tout cela est vrai, mais pourquoi alors refuser d'apprendre qu'au lendemain de la défaite de 1940 il s'habilla en pétainiste, ce après avoir revêtu une panoplie de mussolinien ? Comment refuser d'entendre qu'il livrait à chaque interlocuteur les mots que celui-ci espérait, aussi contraires fussent-ils à ceux prononcés quelques instants avant ? Que la méthode de cinéaste censément inventée par lui répondait à cette vérité qui établit que les théories naissent de la pratique, pas le contraire. Entre autres talents, Jean Renoir possédait celui, remarquable tout autant peut-être, de la communication. Epousant au plus près les soubresauts de son temps, il a inscrit son cinéma dans les pas de l'histoire, avant d'écrire lui-même sa légende et de devenir alors l'acteur d'un seul rôle, le sien. Si sa légende est belle, l'histoire l'est plus encore, qui offre de comprendre mieux un siècle, une personnalité et une œuvre, qui ainsi trouvent à s'accorder enfin.