Napoléon: les grands moments d'un destin
Résumé
A première vue, on pourrait douter qu'il soit seulement possible de dire quelque chose de neuf sur Napoléon : n'avance-t-on pas qu'il s'est publié à son sujet plus de livres qu'il ne s'est écoulé de jours depuis sa mort ? Quant à Jean Tulard, lui qui règne sur les études napoléoniennes depuis quarante ans, qui sait tout d'elles, qui a écrit et dirigé plusieurs dizaines d'ouvrages fondamentaux, il s'est longtemps attaché à comprendre le " mythe du sauveur " (Fayard, 1977), à cerner l'œuvre politique et administrative, à décrire la société française, à esquisser les traits de quelques-uns des participants de l'épopée. Manquait à son œuvre le grand livre qui nous montrerait comment cet incontestable surdoué que fut Napoléon a conduit (ou non) son destin personnel. C'est maintenant chose faite. Le tour de force est à la hauteur et de l'auteur et du sujet : s'écartant des voies classiques d'un récit pointilliste, l'historien a choisi d'évoquer le fabuleux destin de Napoléon en s'arrêtant sur chacun des moments où l'Histoire a hésité.
Lu par :
Vincent Rajaud
Genre littéraire:
Biographie/témoignage
Durée:
15h. 7min.
Édition:
Paris, Fayard, 2006
Numéro du livre:
20619
Produit par:
Groupement des Intellectuels Aveugles ou Amblyopes
ISBN:
9782213630861
CDU:
944.92
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Lu par : Clélia Strambo
Durée : 1h. 50min.
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Lu par : Clélia Strambo
Durée : 8h. 47min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
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Résumé:La vie de Sarah Bernhardt (1844-1923) a donné lieu à toutes les inventions. On l'a dite allemande, hongroise, algérienne, américaine, trouvée sur un banc des Tuileries; on a fait des choux gras de son type sémite et brocardé ses origines incertaines. Star avant la lettre, contrôlant son image et sachant la monnayer, la " divine Sarah " a joué un rôle primordial dans l'histoire du théâtre en France et dans la culture de son temps. Sa devise, " Quand même ", illustre bien ce que fut cette femme libre, à la volonté infatigable, élevée de son vivant au rang de trésor national. Jadis inscrite dans le " fichier des courtisanes ", celle que Victor Hugo surnomma la " Voix d'or " fut durant toute sa vie fidèle à ses préceptes : haïr très peu, mépriser beaucoup, pardonner souvent, ne jamais oublier.