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Recherche par genre: Nouvelle

1032 résultats. Page 52 sur 52.

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Durée : 3h. 30min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 23475
Résumé:«En contrepoint de ses œuvres de fiction, António Lobo Antunes, dans Livre de chroniques, ne cesse de laisser penser ses sens. Il bouscule une fois encore nos idées reçues sur l'écriture, fouille les labyrinthes de la mémoire, architecture ses obsessions : la guerre - celle des sexes, celle des Etats, celle des groupes sociaux, toutes celles qui donnent envie de "regarder, avec une émotion croissante, une gravure poussiéreuse dans le grenier qui montre une jubilante multitude de pauvres autour de la guillotine où l'on coupe la tête de rois" -, la cruauté, la désespérance. "Peut-être qu'il fait toujours nuit quand on a grandi ?" Le Livre de chroniques refermé, comme chaque page écrite par António Lobo Antunes depuis Le Cul de Judas, incite le lecteur à pénétrer dans cette nuit afin de mieux entendre la sienne.» Claire Juliet, Le Passe-Muraille Des scènes de l'enfance de A. Lobo Antunes ressuscitées dans leurs moments de grâce ou de terreur. Des fables sur des couples abîmés, fracturés, en mal d'amour, des évocations poignantes de tête-à-tête avec des patients qu'il soignait dans un hôpital psychiatrique. Des monologues de veuve, d'assassin, de colonel à la retraite, de collectionneur de papillons, de boxeur, de bègue...
Durée : 8h. 20min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 23517
Résumé:Neuf nouvelles sur la " joie de la découverte " dans lesquelles la science n'est pas toujours à la fête : un professeur qui se désole du déclin de la philologie française, matière à laquelle il a consacré quarante ans de sa vie, une jeune fille de bonne famille qui se voue à la recherche médicale et se spécialise en génétique pour tenter de trouver une réponse à ses questions existentielles, un linguiste qui se réfugie dans la grammaire générative pour se consoler du chaos qui règne dans le monde, une astronome inquiète des découvertes qui n'auront pas le temps d'être faites de son vivant sont autant de personnages à la dérive dans la normalité du quotidien. C'est pourtant avec une douce ironie que Björn Larsson croque ces portraits de savants farfelus et cocasses, prétexte à une réflexion plus profonde sur la place universelle de l'Homme.
Durée : 5h. 48min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 22728
Résumé:Paru en 1992, Pipelines, d'Etgar Keret, signait l'entrée fracassante, sur la scène littéraire israélienne, d'un écrivain qui s'imposait d'emblée comme un inventeur de formes capables de traduire, à l'intention de générations nouvelles, un monde à tous égards entré en mutation et qu'ébranlaient, en Israël comme ailleurs, de violentes et multiples convulsions. Si les textes qui composent Pipelines portent l'empreinte d'un surréalisme métaphysique qui rappelle Kafka ou Gombrowicz, et si y transparaissent les liens que Keret entretient avec la culture de l'Europe centrale, la vigueur et la maîtrise qui les caractérisent en font des créations puissamment originales. Composées comme en apnée, ces vignettes avec personnages, traçant des lignes de fuite aussi déviantes qu'insolites, sont en effet autant de fragments prélevés sur le réel dans un geste créateur d'une audace formelle qui métamorphose sur-le-champ le monde en objet d'inattendue méditation. En usant de vertigineux changements de focale, l'écriture d'Etgar Keret opère à chaque instant un déplacement nécessaire, jubilatoire et libérateur, où se dévoile le scandaleux visage d'une sagesse aussi inédite qu'authentique.
Lu par :
Durée : 5h. 59min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 22620
Résumé:Les onze nouvelles composant ce recueil s'agencent à la façon d'une véritable architecture de psychologie sans codes ni problèmes, qualité à la fois la plus secrète et la plus éclatante du romancier. Il y travaille un univers qui n'appartient qu'à lui, univers situé très exactement au nord de la France, entre l'Argonne et les Ardennes, et peuplé de paysans, de servantes d'auberge, de courtiers d'assurances, de petits professeurs, de jeunes filles, d'employés de commerce et de bûcherons. De tels personnages sont apparemment pris dans les réseaux d'une vie provinciale au milieu d'un décors de collines de champs, de rivières, de sommeillantes petites villes. Mais André Dhôtel est un magicien : d'un coup de sa plume enchantée, sous la pression d'une curiosité tendre qui se fait parfois cruelle, il parvient à mettre au jour l'âme de ces hommes et de ces femmes qui se rencontrent, s'aiment, se quittent et meurent. Il nous révèle à mesure les données de leur énigme. Il nous les fait aimer ainsi autant pour leur réalisme que pour leur infinie singularité.
Lu par : Manon
Durée : 9h. 5min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 27005
Résumé:Ce recueil rassemble des nouvelles qui constituent un hymne au peuple nigérian. Elles évoquent la bassesse et la dignité, l'empathie et la cruauté.
Lu par : Hubert Charly
Durée : 3h. 56min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 24112
Résumé:A force de les croiser, nous avons l'impression de connaître ces hommes et ces femmes que nous rencontrons. On découvre leur métier, la solitude poignante de l'un, celle enfin comblée de l'autre. Ceux qui jouent leur rôle dans la comédie humaine peuvent-ils devenir des amis ? Un incident mineur suffit à leur faire tomber les masques, et à laisser deviner leur vrai visage. Ils sont prêts à vous poignarder avec leurs mots. L'analyse de ces personnages, bons ou mauvais, simples ou vicieux, vous rend étonnamment lucide. Dans ses récits, la magie de Christine Arnothy vous enchante. Convaincue de l'inutilité de l'hypocrisie, elle peut même vous persuader qu'on peut mourir - enfin heureux - d'une valse à Vienne. Une envoûtante aventure humaine et littéraire.
Lu par :
Durée : 7h. 21min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 22853
Résumé:Dans chacune des nouvelles qui composent ce recueil, on sent constamment sourdre une angoisse diffuse. Le professeur qui garde pendant trois jours l'enfant d'une femme autrefois aimée, le vieux poète qui voit éclore une veine poétique chez son fils arriéré mental, le gardien de prison qui prend le risque de se laisser noyer avec ses prisonniers - chacun est un jour encerclé, pris au piège de la solitude. Silence, absence, attente, autant d'éléments qui évoquent l'univers de Julien Gracq ou celui de Dino Buzzati.
Durée : 11h. 37min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 23504
Résumé:La littérature mexicaine des trente dernières années offre l'image d'un extraordinaire foisonnement et d'une diversité thématique qui font éclater toutes les représentations réductrices. Il n'y a pas une littérature mexicaine, mais des écrivains mexicains singuliers. Qu'ils s'expriment dans le registre de la satire, du réalisme, du fantastique, de la chronique, de l'humour ; que leur univers romanesque soit noir, inquiétant, désespérant, corrosif, insolite, drôle ; qu'ils s'éloignent de leur pays ou en scrutent les plaies, les grâces et les rêves, tous témoignent d'une relation unique avec le Mexique, ses dires, son histoire, son présent. Et le prouvent, avec talent, par leurs nouvelles.
Lu par : Brigitte Bordron
Durée : 3h. 49min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 28577
Résumé:Un recueil de 6 nouvelles.
Durée : 2h. 51min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 24560
Résumé:Lorsqu’une nouvelle est réussie, on oublie qu’il s’agit d’une nouvelle. Avec ce recueil de Véronique M. Le Normand, « Si on rentrait », on plonge dans plein de petits romans, on y découvre l’intimité des personnages qui pourraient être nos copines, nos soeurs, nos cousins ou même nos voisins. C’est la première fois qu’elle écrit pour les adultes, mais cela faisait longtemps qu’elle y pensait. Raison pour laquelle peut-être ces textes, qui ont pour axe et point commun la maison dans tous ses états, sont si aboutis : lieu de règlement de comptes ou d’invasion, de rébellion ou de soumission, la demeure devient théâtre sous sa plume alerte et ironique. Bienvenue dans le monde des grands !« Si on rentrait »
Durée : 3h. 56min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 24880
Résumé:L'objectif de cette entreprise est de susciter, sous forme d'objets de fiction, des regards croisés ou contrastés sur quelques villes marocaines, au choix des auteurs, en termes de sensibilités, de représentations ou d'altérités. Plusieurs villes marocaines demeurent, en effet, mythiques non seulement pour bon nombre de Marocains, mais également pour des étrangers qui ont eu ou qui ont toujours, un contact de proximité avec ces villes. Depuis le début du siècle dernier, des villes comme Casablanca, Tanger, Fès, Marrakech et d'autres n'ont cessé d'inspirer architectes, urbanistes, cinéastes, artistes et créateurs en tous genres. C'est ainsi qu'elles ont été l'objet d'amour, d'attention et d'intérêt de la part de ceux qui ont nourri au plus profond d'eux-mêmes une passion sincère pour elles. Il n'est donc pas étonnant que ces villes deviennent également une source d'inspiration littéraire dans l'une des formes majeures de la littérature moderne qu'est la nouvelle, un mode d'expression littéraire d'une grande densité narrative. C'est donc dans ce genre littéraire que les auteurs de ce volume nous racontent leur ville, leur vie ou celle de leurs personnages. Victor Hugo, dans La Légende des siècles, rappelle à juste titre que " Une ville finit par être une personne ". Ainsi, cette anthologie vise-t-elle à enrichir le patrimoine littéraire marocain en soulignant les liens entre les auteurs et leurs lieux de référence ou d'inspiration. Les auteurs de ce volume, tous résidents au Maroc, sans être tous des Marocains, tirent ainsi avec bonheur leur matière littéraire de la fraîche réalité quotidienne de leurs villes. Ils portent sur elles un regard parfois nostalgique, parfois critique, parfois même un brin militant... Les approches sont diverses, mais toutes sont sous-tendues par une affection certaine.
Lu par :
Durée : 8h. 51min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 22584
Résumé:Bienvenue en Amérique ! Bienvenue dans la banlieue chic de Shady Hill ! Où tout le monde déteste sans doute son voisin, où l'on est jugé à la tenue de son jardin, où les mots demeurent désespérément lisses, où les femmes feignent d'avoir des amants de peur de passer pour trop âgées... John Cheever, fabuleux chroniqueur, dans ces nouvelles qu'il écrivit durant de nombreuses années pour le New Yorker, décrit avec cynisme et brio cette société de la haute bourgeoisie états-unienne, dont les mondanités masquent tout juste l'état déliquescent et pervers.