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L'île intérieure

Résumé
Un acteur raté, une musicienne sublime, un informaticien ivrogne : un monde étrange, destructeur, hystérique, guetté par le vertige du gouffre. Antonin Moeri nous emmène aux confins de la normalité.
Durée: 2h. 48min.
Édition: Lausanne, L'Age d'homme, 1990
Numéro du livre: 6183
ISBN: 9782825101292

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Durée : 6h. 22min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 36259
Résumé:Quand le soleil descend doucement sur une des plus belles régions du monde, lui prêtant quelque chose de la somptuosité des forêts tropicales, l’homme en veste de pyjama tente de se souvenir. Il se demande entre autre pourquoi la ?lle au regard de feu, quand l’orage menaçait de s’abattre sur eux, ne cessait de lui parler de l’artiste germano-suisse Meret Oppenheim. Il semblerait que tout ça, l’homme en veste de pyjama l’ait raconté à son ami, un sculpteur qui vend ses œuvres par-delà les frontières.
Durée : 7h. 36min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 71766
Résumé:Dans Moi cet autre, qui est une suite de tableaux, on entend une voix, celle d’un personnage qui ne tient pas en place et qui, entre deux balades dans la campagne ou deux séjours à l’étranger, peut se retrouver dans un tea-room, sur une terrasse, dans une gare ou un bus… C’est au bord d’un lac qu’il ralentira sa course pour mieux observer des touristes, de pseudo-artistes, un ex-représentant de cigares, de jeunes mamans, toutes sortes de rentiers, des gens dépourvus de libido qui feront surgir d’autres images, celles de femmes aimées ailleurs et dans un autre temps, celle d’une mère également, qui ?nit ses jours dans un établissement qu’on nomme « lieu de vie ». Or ce qui prendra le dessus dans cette « errance », c’est le rythme des pas et celui des mots qui trouveront peu à peu leur place « dans une trame qui pourrait être celle d’une épopée, d’un hymne, d’un récit ou d’un compte-rendu ».
Durée : 5h. 24min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 66879
Résumé:Exposé au bruit des autres dans un espace public genre tram, café, train, bus ou avion, vous pourriez vivre cette situation comme une malédiction. Mais alors, comment réagiriez-vous aux agressions sonores répétées dans votre espace privé ? C’est à cette question que tente de répondre Ramdam dont les séquences et les situations s’inspirent de faits bien réels. Sachant que ce genre d’agressions peut conduire aux pires extrémités, l’auteur de ce roman tente d’imaginer les circonstances dans lesquelles un individu peut, subitement, basculer dans l’irréparable. Harcelé par un voisin musclé et sans scrupule, proche des mouvements identitaires, un fils de viticulteur algérien sent le sol se dérober sous ses pieds.
Lu par : Jocelyne Corbaz
Durée : 4h. 18min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 19629
Résumé:Je lui ai raconté qu'en sortant du tribunal je m'étais arrêté devant la vitrine d'un armurier. que j'avais longuement examiné la crosse d'un Smith & Wesson, celui qu'utilisent les soldats de l'US Air Force. Cete crosse me fascinaité. Je la voyais grandir puis diminuer, s'approcher de mes yeux puis s'en éloigner dans un nuage de paillettes, s'élargir puis s'allonger. Elle prenait des formes inimaginable, changeait de couleur. Me suis demandé si elle était en bois ou en plastique. Les mains chaudes de mon avocat continuaient de serrer les miennes. Son visage était parcouru d'un tic inhabituel, comme s'il avait été surpris par une explosion et que, depuis, ce spasme ne l'avait plus quitté. Aurait-il pitié de moi, l'homme de loi ? Mais que peut-il faire pour moi ? C'est avec le Smith & Wesson au fond de la poche de mon manteau que je me suis présenté chez le voisin du dessus. J'ai pesé plusieurs fois sur le bouton de la sonnette. Il a finalement ouvert la porte. Il était pieds nus, la veste de son pyjama ouverte sur les tablette de chocolat. Je me suis, une fois de plus, senti écrasé par cette présence en caleçon de coton extra-fin qui mettait en valeur la musculature de ses cuisses. Je me sentait lamentable avec mes jambes allumettes. Ses genoux, son front, ses mains étaient ceux d'un tyran qui exige de ses sujets une soumission absolue, une stricte observation de la seule loi édictée : LA SIENNE !!! J'ai appuyé trois fois sur la détente.
Durée : 4h. 19min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 78996
Résumé:Une femme tourne et retourne les pages d’un album dont les photos lui rappellent les années Solex et ses premiers émois… Quant à Amandine, fille éprise de liberté et de grands espaces, elle découvre l’amour (au cours d’un trekking parfois périlleux) dans les bras d’une femme plus âgée qu’elle… Un troisième personnage féminin décide, à l’ombre d’un volcan, de ne plus se soumettre aux désirs impérieux de l’étudiant qui avait su, par ses discours fleuris, la séduire… Pour ce qui est des messieurs, l’un n’a pas vu les années passer quand son fils, lors d’une balade dans les Préalpes, le qualifie de « boomer » Un autre ne trouve pas les mots pour révéler son secret à un thérapeute qui perd peu à peu de sa superbe… La plupart des personnages de ces nouvelles ont un point commun : une faille qui fait peu à peu vaciller leur identité.
Durée : 5h. 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16542
Résumé:" À partir de 1992, ma vie est marquée par des épreuves dont on se remet avec peine: cancer de Véronique décelé (trop tardivement) en 1992, décès du conjoint en 1994, puis celui de ma fille en 1997. Entre deux morts, marquée par la dépossession, j'écris Ce qui reste de Katharina, roman dans lequel une femme fait le point sur sa vie après le décès de son fils. Mon héroïne, une Allemande née en 1918, manipulée par sa mère jusqu'à ce qu'elle épouse un Suisse et sa nationalité, m'a permis de faire une nouvelle traversée du siècle mais côté bourgeoisie. Ce livre reçoit en 1998 le Prix de la Bibliothèque pour Tous. " (www.campiche.ch)
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 37min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17574
Résumé:Ecrites vers la fin de la dernière guerre, donc plus de dix ans avant la Visite de la vieille dame, voici les toutes premières oeuvres de Dürrenmatt. Certains raffinés les préfèrent pour leur naïveté même, leur sauvagerie baroque. Ce sont des cauchemars, des mythes où l'auteur a risqué son intégrité créatrice, son salut. On ne peut les traverser sans vertige : tout y est labyrinthe, faille, piège. Absurde et parfaite, la Ville renvoie chaque habitant à lui-même, à son illusion, son vide. Bourreaux et victimes, dans cette sournoise apocalypse, deviennent interchangeables. Les identités se dissolvent, les corps se désincarnent. Dieu et Diable sont confondus. Dürrenmatt nihiliste. Dürrenmatt sauvé du nihilisme. Par un certain rire et un certain détachement, vertus passablement helvétiques qui, en allemand, ne portent d'ailleurs qu'un seul nom : Heiterkeit. " Que devons-nous faire ? demanda le chef de train. - Rien, répondit le jeune homme, rien. Dieu nous a laissés tomber, si bien que nous voilà précipités vers lui.
Lu par : Brigitte Cottens
Durée : 4h. 42min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17007
Résumé:Siegmund et Sieglind, frère et soeur, sont les personnages de Sang réservé (1921), ils s'attirent mutuellement par un vertige sensuel. Mann mêle ici satire et poésie, se fait censeur et complice d'un esthétisme fin de siècle. Désordre (1925) est le croquis d'une période troublée et le récit du premier amour d'une enfant. Enfin, Maître et chien (1918) décrit les rapports subtils de l'homme et de l'animal.
Lu par : Michèle Quellet
Durée : 6h. 40min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16882
Résumé:Esther fait le récit de son mal de vivre tout en dépeignant le ridicule de la bonne société bâloise dont elle est issue. Elle impute sa détresse existentielle à l'échec de sa relation amoureuse avec Thomas Reinhard, mentionnant de façon anecdotique les grands événements de cette période tels que la déclaration de la guerre ou l'invasion de la Norvège par l'Allemagne en 1940.
Durée : 3h. 30min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 70111
Résumé:Un roman pour dire la force de l'amour, d'une puissance rare, étincelante, mais aussi la violence de la perte et les abîmes sans fond. Face au vieillissement, une femme à l'aube de la cinquantaine met son coeur à nu pour retrouver un sens à sa vie et s'offre sans fard dans cette quête d'authenticité et de partage. Un voyage initiatique, un parcours peu ordinaire qui met le lecteur en empathie dès les premières pages.
Durée : 3h. 48min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 70371
Résumé:Après une enfance solitaire au bord d’une mare en compagnie des oiseaux, la narratrice, à peine adolescente, part main dans la main avec sa mère à la recherche de son frère inconnu. Ensemble, elles passeront quatre années à vagabonder sur les chemins, à dormir dans les champs et les forêts, à travailler dans les fermes ou les usines. Quand la fille découvre l’amour, il est temps pour sa mère et elle de s’éloigner l’une de l’autre, une séparation aussi libératrice que douloureuse. Les Printemps sauvages raconte de manière puissante la nature et la surprise du sexe. Odeurs, matières, couleurs, tous les sens sont aux aguets pour saisir la beauté du monde. Et sa fragilité : il y a urgence à inventer de nouveaux rapports au vivant
Durée : 3h. 40min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12782
Résumé:Après Le Tramway bleu (Prix Alpes-Jura) et Le Cerf-Volant (Livre de la Fondation Schiller) Nadine Mabille nous livre une sorte de trilogie qui illustre le cheminement intérieur de tout être humain. Les Roses de Décembre, c'est l'histoire d'un parcours de vie qui s'accélère lorsque survient la mort d'un proche. En l'occurrence celle du père, avec le questionnement que cela comporte. Et le désir d'assembler les fragments manquant à toute vie. C'est un retour sur soi-même, un retour au sein d'une famille où chacun a tenté, à sa manière, de bousculer l'ordre établi. Ce sont aussi des souvenirs vus sous un angle différent, moins dramatique, moins entaché de révolte, de refus. C'est la venue d'une douceur nouvelle, d'un apaisement, d'une harmonie qui s'instaure et s'approfondit.