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Et maintenant il ne faut plus pleurer

Résumé
Mille, une adolescente à la beauté lunaire venue passer l'été à Mailund pour s'occuper des deux filles de la famille Brodal, sort un soir par le portail du jardin pour ne plus jamais revenir. Deux ans plus tard, trois garçons partis en forêt pour une chasse au trésor tombent sur les ossements de la disparue. Un jeune homme du coin est arrêté pour les faits, mais est-il le seul responsable ? Une famille en proie à la culpabilité est confrontée à ses propres démons...
Genre littéraire: Policier/épouvante
Durée: 10h. 3min.
Édition: Arles (Bouches-du-Rhône), Actes Sud, 2014
Numéro du livre: 68352
ISBN: 9782330032005
Collection(s): Lettres scandinaves

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Résumé:Que sait-on de ses arrière-grands-mères ? Presque rien... Dans le cas d'Herbjørg Wassmo, la curiosité de l'écrivain s'éveille lorsque sa fille trouve une publication parlant d'un retable dans la cathédrale des îles Lofoten. Le peintre, très doué, était un pasteur, et le modèle une certaine Sara Susanne Krog, qui n'est autre que l'arrière-grand-mère maternelle de Herbjørg Wassmo. Elle se lance dans des recherches sur sa famille, s'inspire librement de ce qu'elle peut en retrouver, poussée par le fait que cent ans exactement la séparent de Sara Susanne, et aussi peut-être parce qu'il est temps pour elle d'évoquer des souvenirs douloureux de sa propre enfance. Elle retrace donc un siècle, de 1860 à 1960 environ, entremêlant différents épisodes de l'histoire familiale...
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Résumé:J'avais besoin d'une alternative à l'angoisse et au sang. Ainsi, je les regardais. Je reniflais leur odeur. Me tenais près d'elles chaque fois que je le pouvais. En faisais l'objet de ma convoitise pendant que je galopais sur les champs couverts de gelée blanche. Cela m'aidait à tenir le reste à distance. Les canons. Les incendiés. Les corps d'hommes maltraités. Ceux qui revenaient du front le soir, ceux qui avaient encore la faculté de penser, étaient comme moi, ils fumaient et pinçaient les filles, buvaient et dormaient. Quelquefois, ils chantaient. Il y en avait un qui avait amené un vieil orgue de Barbarie. Les femmes étaient comme la musique. Terriblement présentes. Physiquement. Et cependant inaccessibles. Présentes pour nous provoquer ou nous émouvoir. Un état d'âme. Jamais permanent. Elles finissaient toujours par quitter la pièce. Les livres, et les rêves par contre, on pouvait les emporter avec soi, Même jusqu'ici. Dans l'enfer. Je ne sais pas s'il m'est arrivé de rêver depuis que j'ai tué Karna.